Comment obtenir son permis de conduire international avant un visa vacances travail

Le permis de conduire international : un sésame incontournable en VVT / PVT

Canada, Australie ou Nouvelle-Zélande, partir en Visa Vacances Travail implique pour la majorité des voyageurs d’obtenir leur permis de conduire international. La raison ? Louer ou acheter une voiture ou un van reste le moyen le plus pratique pour se déplacer et découvrir une région, un pays. Quels documents faut-il ? Où aller le chercher ? Quid des problèmes sur place si vous le perdez par exemple ?

Bonne nouvelle : pas besoin de repasser quelconques épreuves pour posséder ce sésame indispensable qu’est le permis de conduire international si vous partez arpenter les routes d’une des destinations ouvertes en PVT pour les Belges. Celui-ci s’obtient simplement à la commune de votre lieu de résidence. Pour qu’il vous soit remis, munissez-vous :

• d’une photo d’identité récente
• de votre carte d’identité
• de votre permis de conduire belge (valide)

Vous recevrez votre permis international sous cinq jours

Le permis de conduire international, traduction officielle du permis belge, n’a pas de valeur juridique en soi. Raison pour laquelle il doit toujours être accompagné du permis national lors de sa présentation. Ce document, qui n’est pas gratuit, vous sera délivré au plus tard cinq jours ouvrables après le dépôt de la demande. Selon votre commune de résidence, il vous en coûtera entre 16 et 30 euros. Il est ensuite valable trois ans pour tous les pays du monde. Lorsqu’il arrive à échéance, demandez en simplement un autre. Même chose si vous le perdez ou l’abîmez ici en Belgique voire même si on vous le vole. Il vous sera demandé en échange soit votre ancien permis de conduire international ou alors la déclaration de perte ou de vol auprès de la police belge.

Au Canada pour un PVT ? La donne change un peu

Au Canada, dans la plupart des provinces, vous devrez obtenir un permis international après 90 jours (6 mois au Québec, 60 jours dans l’Ontario ou bien encore un an en Alberta). Le permis rédigé en français peut suffire au départ, mais si vous comptez vous rendre dans les provinces qui requièrent des documents officiels en anglais comme le Nouveau-Brunswick, le permis de conduire international pourra vous être demandé. Passé les 90 jours, n’oubliez pas de vous mettre en règle en glanant le permis international. Chaque province possède ses propres lois, son propre règlement en matière de Code de la route et délivre son propre permis pour celles et ceux qui souhaitent s’établir dans une province. Les démarches pour obtenir un permis de conduire canadien lors d’un PVT au Canada divergent donc selon la province/territoire où vous vous trouvez. Dans certains endroits, vous devrez passer un examen écrit sur le Code de la route et un ou deux examens de conduite.

En Australie et en Nouvelle-Zélande, méfiez-vous des amendes

Certains agents de police ou agences de location ne prennent pas au pied de la lettre la législation, mais vous serez prévenu : le risque est bel et bien réel. Et de manière générale, en Australie comme en Nouvelle-Zélande, les autorités locales ne font pas de cadeaux avec ceux qui jugeraient inutile de se conformer à la Loi. Conduire sans permis international consiste donc à prendre des risques superflus au cours d’un séjour où votre budget est certainement réservé à d’autres choses… que de payer une amende.

Permis : que faire en cas d’oubli, de perte ou de vol une fois sur place ?

En cas d’oubli, vous pouvez toujours faire traduire votre permis par un traducteur agréé NAATI dont voici une liste. Cela vous en coûtera toutefois une coquette somme. Mais sachez que depuis l’étranger, le consulat belge ne sera pas en mesure de vous fournir un double de votre permis de conduire voire, un nouveau permis international si vous étiez amener à le perdre ou à vous le faire voler. Vous pouvez toujours demander à un proche en Belgique d’effectuer les démarches pour refaire celui-ci auprès de votre commune de résidence et, si possible, essayer qu’il ou elle obtienne un nouveau permis international à votre place.

 

Pour travailler en Australie, il faut obtenir des certifications

Horeca, bâtiment, jardinage, trafic routier… En Australie, la majorité des emplois accessibles en Visa Vacances Travail requiert de passer une formation pour obtenir les certifications professionnelles que réclament les Etats. Objectif : comprendre la législation et savoir ce qui est permis ou pas. White Card, Green Card, Blue Card, RSA, RCG… Explications sur ces différents sésames, utiles et souvent même obligatoires, qui vous permettront de trouver du travail lors de votre séjour en PVT en Australie.

Hormis pour la cueillette des fruits et légumes, le traditionnel « picking », les formations pour travailler en Australie en VVT sont nombreuses. Si elles ne sont pas toutes officiellement obligatoires, elles restent pour la très large majorité nécessaire afin de trouver un job. Attention donc à bien choisir un centre certifié.

La White Card pour les jobs dans le bâtiment

Pour travailler dans le bâtiment en Australie, comme par exemple sur des chantiers de construction ou bien encore des travaux de voies urbaines, posséder une White Card est indispensable. Elle vous apportera les connaissances pour travailler dans le secteur au travers d’un test qui vérifie vos connaissances sur la législation, les sites de construction ou les normes et consignes de sécurité ainsi que les éventuels risques sur les chantiers. Une fois obtenue, la White Card est valable dans tous les Etats du pays. Vous pouvez dès lors la passer n’importe où. Deux possibilités s’offrent à vous pour l’obtenir :

• Passer la formation dans un centre. Comptez environ une journée
• Faire un test sur internet avec le AXIOM COLLEGE par exemple ou encore sur le site officiel qui proposent respectivement des cours « online » pour 59$ et 38,90$. La formation dure plus ou moins 4 heures

Le prix de la White Card est compris entre 50$ et 100$. Mais en Australie, la construction comme le bâtiment restent des domaines lucratifs (notamment pour les spécialistes : charpentier, plombier, carreleur…) et vous permettront de rembourser rapidement ce montant et d’économiser de l’argent. De nombreux jobs sont situés en Nouvelle-Galles du Sud, dans le Victoria et le Queensland.

Le Responsible Service of Alcohol (RSA) pour l’Horeca

Bars, hôtels, liquor shop ou restauration, le RSA est une formation attestant de votre connaissance des lois relatives à la consommation d’alcool en Australie. Elle offre la possibilité de travailler n’importe où vous serez en contact direct avec de l’alcool. Dans les grandes villes, les différents établissements vous demanderont systématiquement le RSA. Chaque Etat possède sa propre législation concernant l’alcool, le RSA n’est donc pas forcément valable d’un Etat à l’autre. Dans le New South Wales, ce diplôme est indispensable alors que dans l’Etat du Victoria, où il peut être passé uniquement en cours, vous pourrez passer gratuitement un RSA Refresher, qui validera votre certification d’un autre Etat (plus d’informations et inscriptions ici ou sur ce lien. En dehors des grandes villes, on ne vous l’imposera pas tous le temps.

En ligne sur Internet, la démarche vous prendra plus ou moins 4 heures entre les cours et les questions. Dans un campus, cela vous demandera la journée avec cours le matin et questions l’après-midi. Les prix varient entre 40$ et 150$ selon la formule. Attention à toujours bien vérifier que l’opérateur choisi est agréé !

Le Certificate Responsible Conduct of Gambling (RCG) pour travailler dans les métiers du jeu et des paris

Si vous êtes amateur de jeux et de casinos, le RCG vous permet d’apprendre à utiliser les machines à sous, les Pokies, très courantes dans ce pays d’Océanie et plus particulièrement dans les bars et les nombreux hôtels. Tout en contrôlant que les clients jouent de manière responsable. En ligne comme en cours, comptez un peu plus d’une demi-journée de formation pour un total de 80 à 110$ généralement. A l’inverse des autres certifications en général, vous pouvez le passer après être embauché dans des Etats comme le Victoria, le South Australia et le Northern Territories et ensuite passer votre diplôme. Voici quelques exemples de sites proposant de passer le RCG : Qhint, Barmax. A noter également, ce diplôme n’est pas réclamé dans tous les états. Le Western Australia, le Northern Territorry, si vous travaillez moins de 3 mois) ne réclame pas.

La Green Card pour les emplois de jardinage et environnement

La Green Card sera votre pass pour travailler dans l’environnement, c’est-à-dire, tous les métiers de jardinage notamment. Valable partout en Australie, cette carte est facile à obtenir en ligne et valide pour tous les Etats pour 60$ à cette adresse : GreenCardTraining.

Food Hygiene Procedures pour trouver un job en cuisine

Chef, commis, serveur… Les opportunités d’emploi ne manquent pas pour les Européens dans le secteur de la cuisine. Pas obligatoire, quelques établissements pourront vous réclamer de passer cette formation pour apprendre et appliquer les règles d’hygiène dans le domaine de la sécurité alimentaire. Au total, cette certification d’une demi-journée s’élèvera entre 80$ et 100$.

La Blue Card pour le contrôle du trafic routier

Ce ne sont pas forcément les jobs qui font le plus rêver à première vue, mais quand il s’agit de travailler en Australie, toute mission temporaire peut être bonne à prendre. D’autant que le poste de contrôleur du trafic routier n’est pas le plus physique et rémunère correctement. Pour autant, travailler sur les voies publiques ne s’improvise pas. Objectif de la Blue Card : vous apprendre les règles de sécurité ainsi que les procédures de contrôle pour parer à tout danger. La formation dure une journée (6 à 7 heures) pour un montant allant de 140 à 170$. Pour l’obtenir, il est même conseillé d’avoir la White Card ainsi que le permis de conduire (depuis au moins 12 mois). Plusieurs organismes proposent ainsi des offres pour passer à la fois la White Card et la Blue Card comme : Edway ou In Front Staffing&Training.

A noter enfin deux autres formations pour parfaire vos connaissances et optimiser vos chances de trouver un emploi dans les cafés et les bars que nous proposons aussi chez Visavacancestravail.be :

BARISTA ou Coffee maker

C’est peu dire que les Australiens apprécient le café. Résultat, on le boit sous de nombreuses formes et l’on vous demandera très fréquemment de savoir préparer le Cappuccino, le Latte, le Macchiato… La préparation de l’Espresso (« short black ») ne suffira pas. La formation spécifique de Barista est un excellent moyen d’accroître ses chances de décrocher un job en vous préparant à la manipulation des machines aux différentes préparations, que recherchent notamment certains cafés et chaînes à l’instar de Starbucks ou de Gloria Jeans. Comptez entre 100$ et 120$ pour des cours en groupe en classes de 3 à 4 heures. Possibilité d’ajouter quelques options supplémentaires (comme le maniement de la crème) pour les plus motivés qui souhaitent se démarquer.

BAR SKILLS

Vous envisagez de faire danser à toute allure les bouteilles derrières votre bar ? Sur une demie ou une journée complète, la formation de Bar skills vous apprendra également à préparer des shots d’alcool ou à utiliser le pistolet à boisson. Les prix grimpent jusqu’à 130$. Notez qu’il est obligatoire de passer son RSA avant, certaines compagnies proposent dès lors des packs pour environ 250$ incluant le diplôme de Bar Skills en plus du RSA et du RGC. Enfin, sachez que la formation cocktails skills existe aussi !

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10 raisons de choisir la nouvelle-Zélande en Visa Vacances Travail

Faites le choix de la Nouvelle-Zélande !

Si l’Australie et le Canada sont très populaires en matière de Visa Vacances Travail, le PVT Nouvelle-Zélande ne manque pas d’arguments : son climat est agréable, ses paysages exceptionnels et le pays est à la recherche de main d’œuvre pour combler ses nombreux postes vacants dans une large variété de secteurs. La Nouvelle-Zélande offre ainsi une qualité de vie bien au-dessus de la moyenne mondiale ! En résumé, une destination parfaite pour les candidats à la recherche d’un changement de style de vie comme d’aventure. Voici le top 10 des raisons qui valent la peine de faire le déplacement en VVT / PVT !

La qualité de vie en Nouvelle-Zélande

En Nouvelle-Zélande, l’indice de bonheur des habitants atteint des sommets records ! Ce n’est donc pas pour rien que le pays arrive régulièrement en tête des sondages année après année des pays où il fait bon vivre. Récemment, Aotearoa ou le pays du long nuage blanc, est arrivé deuxième dans l’enquête HSBC « Explorer Expat », l’une des plus grandes enquêtes indépendantes qui sondent les expatriés du monde entier. Cette qualité de vie élevée provient du style décontracté, convivial et naturel qu’ont adopté les Kiwis, de l’équilibre travail / vie privée et du peu de temps de trajet nécessaire au quotidien. Même dans les plus grandes villes (Auckland, Wellington, Christchurch ou bien Dunedin), les résidents sont à seulement quelques minutes d’une piste, d’une plage ou d’un parc pour une balade à VTT ou d’un lac pour pêcher.

Paysages-nouvelle-zelande

Un pays sûr niveau sécurité

La preuve par les chiffres, en 2015, d’après le Global Peace Index qui compare 162 pays en prenant en compte les risques de subir des violences, la Nouvelle-Zélande se classe au quatrième rang des pays les plus sûrs à vivre au monde. Il est ainsi possible de profiter des avantages d’un mode de vie en plein air, plus détendu.

Un système éducatif de premier plan

Soulignons la force du système éducatif de la Nouvelle-Zélande. Les huit universités du pays sont ainsi apparues dans le classement « Top 500 des meilleures universités mondiales en 2015/16 et 50 % s’y classent même dans le top 250. Une enquête a mis en évidence que plus de 90 % des parents expatriés pensent que la qualité de l’éducation de la Nouvelle-Zélande est similaire ou meilleure à celle de leur pays d’origine. Nul doute que les écoles que nous vous proposons dans le cadre de cours de langue lors de votre entame de VVT / PVT font partie des meilleures.

Un coût de la vie relativement faible

Certes, depuis la coupe du monde 2011, les prix ont quelque peu grimpé. Un certain nombre de coûts quotidiens sont ainsi comparables avec ceux de pays européens, mais le coût de la vie général, notamment celui des loyers, y est plus faible, loin devant l’Australie par exemple. Auckland ne serait ainsi que la 61e ville la plus chère au monde selon l’étude Mercer alors que Wellington se classe en 83ème position.

Un climat favorable

Si l’Australie remporte le match des températures, le climat de la Nouvelle-Zélande est « tempéré », ce qui lui confère des étés chauds et relativement secs et des hivers relativement doux et humides. Situées aux confins de l’Océanie, les trois plus grandes villes de Nouvelle-Zélande obtiennent toutes plus de 2 000 heures d’ensoleillement par an… contre environ 1 500 pour Bruxelles. La ville de Nelson sur l’île du Sud profite même de 2 400 heures d’ensoleillement. Il est ainsi plus facile de profiter d’un mode de vie sain à l’extérieur toute l’année. De quoi favoriser l’épanouissement.

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De bonnes perspectives de travail

Certes, le Visa Vacances Travail ne permet pas de travailler directement pour des entreprises de renom ou à des postes très qualifiés. Mais il offre au moins la possibilité de rentrer en contact avec de potentiels futurs employeurs en étant directement sur place. Or, la Nouvelle-Zélande connaît des pénuries de compétences dans plus de 150 professions : la construction, l’ingénierie, la santé, les TIC, la science, le tourisme… pour n’en citer que quelques-uns. La culture du travail est nettement « Kiwi » : amicale, professionnelle et la plupart du temps très informelle, loin de nos mœurs européennes et de son formalisme. Il s’agit également la plupart du temps d’entreprises de petite taille. La Nouvelle-Zélande a ainsi été mise en évidence en tant que pays le plus prospère en dehors de l’Europe dans le Legatum Prosperity Index annuel 2015 et se classe dans le top cinq de cet indice depuis 2009, démontrant ainsi la solidité de son économie en plus du confort financier qu’il peut offrir. En matière de Visa Vacances Travail, les opportunités ne manquent certainement pas. Encore moins grâce à notre partenaire sur place. Y trouver un job rapidement y est donc assuré !

Des paysages magnifiques

Faut-il encore vraiment le rappeler ? La Nouvelle-Zélande a été choisie comme destination de tournage pour Le Seigneur des Anneaux, Le Monde de Narnia ou encore Avatar et ce n’est pas pour rien. Les paysages ont vraiment beaucoup à vous offrir – superbes plages de sable, forêts indigènes, montagnes, lacs, rivières et autres fjords… La Nouvelle-Zélande a été élue « pays préféré » des Travel Awards 2014 du journal Telegraph et ce, trois années consécutives. Impossible d’énumérer toutes les merveilles de la nature à découvrir, cela mérite un article à part entière !

Des logements spacieux

Hormis à Wellington et à Auckland (et encore), la Nouvelle-Zélande n’a pas encore embrassé le style de vie en appartement. La plupart des maisons sont indépendantes, plain-pied et possèdent leur propre jardin offrant ainsi beaucoup d’espace à ses habitants. Elles sont généralement construites pour tirer le meilleur parti de la lumière. Même en ville, contrairement à Paris, Londres ou bien Sydney voire Melbourne plus à proximité, les loyers n’atteignent pas jamais des sommets. De quoi élargir un peu son budget aux différentes activités. Pratique non ?

Très facile pour s’y déplacer

Certes le réseau ferroviaire n’est pas le plus développé qu’il soit, mais les liaisons en bus sont largement suffisantes pour faire le tour du pays. Les bateaux reliant les deux îles (et les autres plus petites dans le Northland) sont également très réguliers, tout comme les correspondances par avion. En voiture, alors que la circulation est limitée à 100km/h vous n’aurez que peu l’occasion de dépasser cette allure tant les routes sont belles (attention tout de même à bien regarder devant soi 😉 ). Les routes sont dans l’ensemble très bien entretenues, bien que sinueuses, et les destinations relativement courtes, voire très courtes par rapport à l’Australie. Pour ceux qui ne préfèrent pas conduire, des compagnies de bus proposent des pass pour circuler ou découvrir pendant un laps de temps le pays.

Le monde devient de plus en plus petit

Alors d’accord, la Nouvelle-Zélande se trouve à l’autre bout du monde. S’y rendre pour une à deux semaines paraît donc inapproprié. Mais pour tous qui sont ceux inquiets, il est bon de se rappeler que le monde devient vraiment de plus en plus petit. Une sorte de village planétaire en somme ! Les vols sont toujours plus fréquents et abordables pour d’éventuels visiteurs si vous comptez rester six mois ou un an. D’autant qu’il n’a jamais été aussi facile de rester en contact grâce à Skype et aux réseaux sociaux. Enfin, en moins de quelques heures, vous pourrez vous retrouver en Australie, dans les Iles Fidji ou encore en Asie.

Après ça, vous n’avez plus de raisons de ne pas choisir la Nouvelle-Zélande 🙂 Voici d’autres articles qui pourraient vous intéresser :

VVT : Australie ou Nouvelle Zélande pour un Visa Vacances Travail ? Un choix pas toujours facile, voici quelques pistes de réflexions.

Choisir entre l’Australie ou la Nouvelle-Zélande pour effectuer un Visa Vacances Travail, une question ô combien sensible tant les amoureux de ces deux destinations sont nombreux. Mais ce n’est pas la raison qui nous amène dans cet article à ne pas trancher. Il n’existe tout simplement, au risque d’en décevoir certains, aucune réponse toute faite. Plage, villes, activités culturelles et sportives… C’est à vous que revient la décision finale !

Qui de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie au moment de choisir son VVT/PVT ? D’aucuns vous diront : « les deux mon capitaine ! » Et à notre humble avis, ils n’ont pas tort. Cela étant, vous souhaitez peut-être vous immerger à fond dans une culture ou bien alors, votre budget ne vous permet pas cette douce folie. L’autre raison récurrente s’avère souvent être le manque de temps. Et personne ne pourra vous en vouloir évidemment. Si vous estimez toutefois pouvoir vous le permettre, ne reculez pas ! Glisser dans son périple escapade (même courte) dans l’une ou l’autre de ces destinations est un must do.

Les déplacements en Australie ou Nouvelle-Zélande

Venons en aux faits. Outre l’évidence que la Nouvelle-Zélande et l’Australie se situent tous les deux en Océanie et dans l’hémisphère Sud, ces deux contrées possèdent de nombreuses spécificités. A commencer par la taille. L’une est une île continent (à laquelle on peut y ajouter la Tasmanie), l’autre un peu plus au Sud, est composée de deux îles qui s’étendent sur 1600 km et d’une myriade d’îles plus petites les unes que les autres, principalement au Nord. Pour vous donner un point de comparaison, l’Australie est 252 fois plus grande que la Belgique. La Nouvelle-Zélande, « seulement » 9 fois. Première conclusion, si vous êtes effrayés par les distances et que vous avez la bougeotte, votre VVT Australie risque de vous sembler aussi rempli en voyage qu’en activités sur place. A un petit détail près, s’y déplacer, quelle que soit la région, recèle un exotisme et une excitation que vous n’aurez certainement encore ressenti nul part ailleurs. Vous aurez le choix de vous déplacer en bus, en avion (surtout en Australie) ou alors en van ou voiture quelle que soit la terre promise choisie. Un conseil pour les plus baroudeurs, pensez à verrouiller votre véhicule, van comme voiture, afin d’éviter toutes mauvaises surprises 🙂 !

Déplacement-Australie-Nouvelle-Zelande

Climat : chaud en Australie, plus variable en Nouvelle-Zélande

Passons à un autre sujet : le climat, déterminant pour certains. Si vous rêvez de passer votre année en slashes, l’Australie s’impose. Si vous préférez la fraîcheur à la canicule, rendez-vous en Nouvelle-Zélande. Cela serait un peu schématiser tout de même, rentrons donc un peu plus dans le détail. Oui, l’Australie remporte le match des températures. Hormis l’hiver du côté de Melbourne notamment, le reste de l’année, vous ne risquez pas d’aller au devant de grandes et mauvaises surprises. Surtout si vous vous rapprochez de Brisbane, réputé pour ses 320 jours d’ensoleillement annuel. Au pays du long nuage blanc, la météo est plus capricieuse. Connu comme étant le pays aux quatre saisons, il n’est pas rare que le temps change à de multiples reprises dans la même journée. Le Nord reste toutefois très agréable : l’hiver y est doux et les étés chauds. Le Sud, en revanche, s’apparente plus à ce que l’on a l’habitude de rencontrer chez nous. Il n’y fera que rarement des températures négatives records, mais celles-ci resteront souvent comprises aux alentours de 0°, en hiver du moins.

Un débat entre mer et montagnes ? Pas seulement !

Cette réflexion nous conduit tout droit vers un autre point : le relief. S’il fait froid en Nouvelle-Zélande, le Sud, plus montagneux, conviendra parfaitement aux adeptes du ski et de sensations fortes grâce à ses nombreuses stations en hiver (soit pendant notre été). Le point le plus haut de l’île du Sud étant le superbe Mont Cook et ses 3 724 mètres d’altitude. Sur l’île du Nord, vous retrouverez également de nombreux points culminants notamment à Taupo dont sa fameuse randonnée la Tongariro Alpine Crossing au sud du lac. L’Australie n’est pas en reste non plus et possède même également quelques stations. Mais elle a surtout pour centre un désert, le tout dans un décor un peu far-ouest, et des côtes toutes différentes où vous trouverez des villes comme Sydney, Melbourne (très européenne), Brisbane, Perth… où les activités culturelles à faire sont nombreuses (Auckland et Wellington sont, elles aussi, très agréables bien que plus petites). Quoi qu’il en soit les deux destinations offrent des paysages rares et sauvages : jungle, animaux du bush et plages idylliques en Australie ; lacs, volcans et fjords en Nouvelle-Zélande. Forcément spectaculaire.

Entre mer et montagne, la Nouvelle Zélande et l'Australie sont deux pays hors norme pour un VVT/PVT.

Les + supplémentaires de chaque pays :

En Australie, notons la grande barrière de corail, la jungle tropicale, le surf dans des eaux plus clémentes et l’opportunité d’économiser un peu d’argent pour vous rendre en Asie du Sud-est par exemple ou en Océanie.

En Nouvelle-Zélande, il y a bien sûr le saut à l’élastique (discipline nationale) et autres sports extrêmes et bien entendu, la randonnée. Le pays est le paradis du randonneur grâce à ses innombrables kilomètres et refuges.

Dernière chose, les infrastructures pour voyager sont identiques, il est en effet très facile de se déplacer et organiser son voyage en Australie comme en Nouvelle-Zélande, qui sont d’ailleurs très sûrs en matière de sécurité ! Un plus pour les filles qui souhaiteraient voyager seules, mais nous y reviendrons bientôt dans notre prochain dossier !

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Le fruitpicking est très répandu pour ceux qui partent en Working Holiday.

Grâce au Visa Vacances Travail ou Working Holiday, trouver du travail l’autre bout du monde n’a jamais été aussi simple. Et encore plus avec notre formule de Job Assistance. De Barman à freelance en passant par les jobs de saisonnier… Les opportunités sont nombreuses. Zoom sur 5 métiers propices pour travailler et voyager simultanément.

 

Barman/serveur

Vous avez 30 ans maximum, obtenir un visa de travail au Canada en Nouvelle Zélande ou en Australie grâce au Visa Vacances Travail ou Working Holiday est un jeu d’enfant. L’un des métiers les plus sollicités par les VVTistes n’est autre que celui de Barman ou serveur. Pourquoi ? Grâce au turn-over propre à la fonction qui assure un renouvellement des opportunités. Si en plus vous bénéficiez d’une première expérience, que vous êtes capable d’offrir un excellent service et que vous n’avez pas peur de faire de longs horaires, il ne vous sera pas difficile de trouver du travail en ville comme sur les lieux plus touristiques des trois destinations anglophones du VVT.

Young handsome bartender working in front of the bar

Saisonnier en station de ski, en station balnéaire

Job par excellence pour partir travailler à l’étranger, celui de saisonnier. En station de sports d’hiver comme nous le proposons à Whistler au Canada ou à Queenstown en Nouvelle-Zélande où il existe de belles opportunités. Ces destinations recherchent en effet des saisonniers tout au long de l’année et en particulier pendant les saisons d’hiver. Pendant l’été, vous pouvez ajouter l’Australie et ses nombreux sports pour vous frayer un chemin en tant que saisonnier en station balnéaire.

 

Cueilleur de fruits ou légumes

Ce n’est certainement pas le job le plus amusant à première vue mais attention aux idées reçues. Une fois la journée terminée, il n’est pas rare de voir le propriétaire vous offrir un verre ou de se réunir entre cueilleurs pour trinquer ensemble. Parfois fatiguant selon les cadences, ce type de missions vous fera également rencontrer des VVTistes du monde entier avec qui partager vos bons plans. Des vignobles du Marlborough, plus grande région viticole de Nouvelle-Zélande, au fruit picking dans de nombreuses régions d’Australie ou plus localement au Canada, si l’expérience vous tente, vous trouverez forcément un employeur sur qui compter.

 

Freelance

Vous êtes freelance ? Le Visa Vacances Travail est fait pour vous. Dans certains secteurs où les contacts s’effectuent désormais uniquement par e-mail ou téléphone, c’est l’assurance de pouvoir vivre pleinement son expérience sans perdre pour autant son réseau. Vos vacances, vous les effectuerez sur la Gold Coast si vous êtes près de Brisbane, dans le Coromandel si vous avez choisi Auckland en Nouvelle-Zélande ou au Québec si Toronto vous branche plus. Moyennant une connexion Internet, vous n’avez plus aucune limite, définissez vos propres horaires et planifiez votre travail comme bon vous semble.

 

Donner des cours de langues

Vous partez pour apprendre l’anglais, mais savez-vous que votre langue maternelle peut également vous permettre de trouver du travail ? Français, espagnol ou portugais, certaines langues sont précieuses aux yeux des étudiants et des professionnels qui souhaitent commercer avec l’Europe. Donner des cours particuliers le soir ou en journée est un bon moyen de s’assurer quelques revenus… pour explorer ensuite la zone où vous vous trouvez. Une manière aussi de vous connecter avec les locaux et leur culture.

 

Cette liste est loin d’être exhaustive, quels autres jobs permettent de voyager selon vous ? Partagez ici votre expérience.

Zoom sur trois des plus belles routes du monde à faire en Visa Vacances Travail

Si au Canada, en Nouvelle-Zélande comme en Australie les points d’intérêts ne manquent pas pendant un Visa Vacances Travail, certaines balades sont tout simplement incontournables. C’est le cas de la West Coast au pays des Kiwis, l’une des belles routes côtières de la planète tout comme la Great Ocean Road qui court le long de la côte sud-ouest chez les Aussies. Au Nord du pays de l’oncle Sam, zoom sur La Sea-to-Sky Highway, véritable coin de paradis sur terre. 

Tout au Sud de l’Australie, la Great Ocean Road

La Great Ocean Road, tout simplement un inévitable de l’Australie, est blottie sur la côte sud-ouest de l’Etat du Victoria. Entre falaise et mer, la route démarre depuis Melbourne, ou plus exactement Torquay (où la célèbre compétition  »Rip Curl Pro » se déroule chaque année depuis près d’un demi-siècle à Bells Beach) jusqu’à Warrnambool et ce, sur 243 kilomètres. Voyager sur la Great Ocean Road, c’est aussi s’arrêter pour contempler les imposantes et époustouflantes formations rocheuses comme les Twelve Apostles au niveau de Port Campbell, le London Bridge ou encore le Grotto, qui bordent l’itinéraire.

Vous en profiterez aussi pour contempler des cascades, faire du surf à votre tour, de la plongée, admirer la superbe côte grâce à la Great Ocean Walk (sentier pédestre qui s’étend sur 104 km à faire en plusieurs jours), vous rapprocher de la faune indigène à Tower Hill, profiter de la gastronomie et des vignobles locaux… Bien entendu, pour être libre d’aller où bon vous semble, la meilleure façon de profiter des richesses naturelles de la Great Ocean Road est de voyager en voiture. Un conseil pour le retour, faites une boucle pour revenir sur Melbourne par les terres. Changement de décor et d’ambiance assuré ! La campagne à perte de vue est tantôt aride, tantôt luxuriante. Engouffrez-vous sur des petites routes qui vous donneront la sensation de visiter un tout autre pays.

Loch Ard Gorge - Great Ocean Road

La West Coast sur l’Île du Sud en Nouvelle-Zélande

Parmi les road trips à faire en Nouvelle-Zélande, la West Coast est définitivement un point de passage à ne manquer sous aucun prétexte. L’impressionnante route qui longe les paysages sauvages et majestueux de la côte ouest de l’Île du Sud est cernée par la mer de Tasman et les Alpes du Sud. Au programme : montagnes, glaciers, lacs, plages… et violente houle. Soit un itinéraire hors-norme qui vous amènera à conduire au milieu d’une nature vierge, dans une région très peu peuplée (moins de 1% de la population de Nouvelle-Zélande, pour 9% de sa superficie).

Depuis Charleston jusqu’à Haast (voire même Wanaka), il y a beaucoup à voir et à faire en un peu moins de 400 kilomètres. Pensez à prévoir suffisamment de temps pour visiter les galeries d’artisans qui soufflent le verre et travaillent le bois. Si les voyageurs ont tendance à cocher, à raison, les sites incontournables de Punakaiki (plus connu sous le nom de Pancake Rocks), Hokitika, Franz Josef et Fox glaciers, d’autres lieux comme Oparara bassin, Okarito Lagoon et de nombreux lacs de la côte vous étonneront tout autant. Ce petit coin de paradis recèle de nombreuses balades comme celle jusqu’à la plage encaissée de Truman Beach comme des randos de plus longues distances à l’image de la Heaphy Track ou de Rob Roy Glacier Track. « The Coast » comme l’appellent les locaux, est un trésor géologique de la Planète Bleue.

Pancake Rocks - West Coast - Nouvelle Zélande

La Sea-to-Sky Highway au Canada

Si la Sea-to-Sky Highway est la principale voie qui rallie Whistler depuis Vancouver en 120 kilomètres, peu de voyageurs s’en plaindront. Célèbre section de la Brtish Colombia Highway 99 sur la côte ouest du Canada, l’itinéraire longe la baie Howe sur une sorte d’autoroute qui quitte la mer pour atteindre les cimes de montagnes, ce qui lui vaut son surnom de Sea to Sky. Son point de départ : Horseshoe Bay, petit village côtier très charmant avec une très belle plage, à quelques kilomètres de Vancouver. Constituée de toutes mythiques et sinueuses, la Sea-to-Sky Highway a récemment été réparée à divers points d’arrêt intéressants.

Parmi les inconditionnels : la cascade Shannon Falls, le pont suspendu de Capilano qui traverse un canyon sur 137 mètres et 70 mètres de haut. Ou encore, la Grouse Mountain et sa vue insolite depuis Vancouver en haut d’une éolienne. Autre étape incontournable : les chutes de Brandywine ou de Shannon hautes de 335 mètres pour une petite randonnée de moins d’une heure.  Ou encore, la randonnée The Chief près de Squamish. Sur place, nombreux sont ceux à s’essayer à l’escalade alors que la vue depuis le sommet sur le Fjord est grandiose. A Squamish, vous aurez l’embarras du choix si vous aimez les activités extérieures : balade à vélo, Rafting, Kite Surf, canoë…

Quels autres itinéraires hors norme avez vous réalisé dans ces trois destinations ? Partagez ici vos expériences avec les autres VVTistes.

Voyager en couple en Visa Vacances Travail est-il une bonne idée ?

Vous avez envie de partir à l’aventure à l’autre bout du monde grâce au Visa Vacances Travail.  Seulement voilà, vous ne savez pas s’il est préférable de partir seul ou avec votre petit(e)-ami(e) ? Quelle est l’option la plus pratique ? Celle qui vous fera passer le meilleur voyage ? Voici les pours et les contres.

 

Pour commencer, il est tout à fait normal de se poser la question lorsque l’on vit en couple et que l’on souhaite partir en PVT Australie, PVT Nouvelle-Zélande ou PVT Canada. Car si l’envie de vivre l’aventure à deux est légitime, qu’en est-il de sa liberté personnelle ? Autre problème, avoir tendance à parler trop français et donc, à ne pas progresser suffisamment dans la langue de Shakespeare. Autre réflexion, faire tout ensemble et risquer de ne pas rencontrer autant de monde que lorsqu’on voyage seul. Attention tout de même aux idées reçues sur la question.

 

Une réponse qui dépend de la finalité du voyage

Livrer une réponse toute faite n’aurait ici bien sûr aucun sens. Tout simplement parce que chaque situation est différente, unique en son genre. Aussi, car la finalité de votre voyage aura un impact direct sur le choix à faire. Si votre but est avant tout de bourlinguer en permanence de destination en destination pendant quelques mois ou un an, vous aurez moins de chances de nouer des contacts sérieux avec des étrangers ou des locaux. Vous aurez alors quelqu’un avec qui partager tous vos moments extraordinaires et sur qui compter, si par exemple vous parlez mal anglais afin de demander un renseignement, pour effectuer certaines démarches ou en cas de problèmes de santé. En revanche, vous risquez de moins parler anglais. Encore une fois, si votre but est avant tout de voyager plus que l’apprentissage de la langue, ceci ne pose pas vraiment de problème.

Single woman alone swinging on the beach and looking the other seat missing a boyfriend

Voyager seul, c’est le meilleur moyen de pas l’être

En revanche, si vous cherchez avant tout à travailler partir à deux signifie trouver deux jobs au lieu d’un seul. Certains avanceront que partir seul offre davantage de liberté, de mobilité, moins de contraintes liées aux envies et aux choix de l’autre. D’autant qu’être seul au bout du monde avec soi-même est l’assurance de voir la vie autrement, de grandir et donc de changer d’une certaine manière. Les arguments pro-voyage en solitaire sont nombreux et pas forcément dénués de sens. En revanche, rien ne vous empêche sur place de faire des rencontres à deux. C’est avant tout une question de personnalité et de prise d’initiatives, rien de plus. D’autant qu’être en couple, cela ne signifie pas non plus que la seule personne à qui nous désirons parler soit son alter-égo.


Et voyager entre amis alors ?

L’autre possibilité consiste à partir pour certains entre amis afin de réaliser un Working holiday Visa inoubliable. Un choix à ne retenir que si vous avez déjà voyagé avec la personne en question auparavant. Mais aussi, si vous êtes prêt à réaliser certaines concessions pour ne pas rompre l’équilibre, à vous séparer quelques jours ou plus longtemps si le besoin s’en fait ressentir comme par exemple, si les aspirations pour tel ou tel trip ou excursion ne correspondent pas à celles de l’autre. Car voyager, c’est aussi choisir.

 

Conclusion : votre philosophie de voyage prime sur le reste, tout comme vos objectifs. A deux, on ne voyage certainement pas moins bien, mais surtout différemment. Et cela peut se transformer en quelque chose d’encore plus fort. Une chose est sûr, ce n’est pas un choix à prendre à la légère et la réponse est loin d’être unique et sans équivoque. Et vous qu’en pensez-vous ? Le débat est ouvert, n’hésitez pas à faire part de vos expériences qui seront autant de pistes de réflexion pour les autres VVtistes.

 

Les + de partir à plusieurs :

– Le soutien moral

– Le partage de situations extraordinaires

– Les bons souvenirs communs à l’arrivée

Les – de partir à plusieurs :

– Les risques de disputes qui ternissent le séjour

– Plus difficile de rester au calme seul

– Plus difficile de trouver un job, encore que, souvent, les employeurs peuvent recruter plusieurs personnes à la fois, dans le cas des fermes et ranchs par exemple

Les + de partir seul :

– Moins de concessions a faire pendant le voyage

– Toucher du doigt la liberté absolue

– Progresser en anglais plus vite

– Développer son autonomie

Les – de partir seul :

On ne peut compter que sur soi en cas de problème de santé

– La solitude dans certaines zones reculées