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Se loger durant un programme Visa Vacances Travail

07/08/2024

En auberge, chez l’habitant, dans son van ou au camping… Comment se loger pendant un VVT/PVT

Avant de partir en PVT et une fois arrivé, la question du logement occupe une place importante. Car c’est tout simplement l’un voire le premier poste de dépense des voyageurs ! Quelles sont les possibilités d’hébergement en Nouvelle-Zélande, Australie ou au Canada ? Est-il possible de se loger pour pas trop cher ? Comment font les autres VVTistes pendant leur séjour en Working Holiday ? Les réponses à toutes vos questions.

Avant de présenter plus en détails chaque possibilité d’hébergement, retour sur les premiers jours du visa vacances travail (ou Permis vacances travail ou Working Holiday en anglais rappelons-le). Ils représentent une étape essentielle pour démarrer dans les meilleures conditions. Chez VisaVacancesTravail.be, nous proposons de commencer par quelques jours (quatre pour être plus précis) en auberge de jeunesse. C’est d’ailleurs ce que choisissent la majorité des VVtistes pour atterrir en douceur. Autre possibilité, tenter sa chance en Couchsurfing pour les plus petits budgets ou via Airbnb. En revanche, hormis pour de rares exceptions, les hôtels et Beds & Breakfasts ne feront pas partie de votre vocabulaire durant votre Working Holiday (puisque leurs prix sont tout simplement supérieurs généralement à ce que vous gagnerez en une journée hélas).

Auberges de jeunesse : le logement le plus fréquent

On ne compte plus les nombreuses auberges de jeunesse (les fameux «backpackers» que vous trouverez sur de nombreux sites comme Hostelbookers ou Hihostels) présentes dans tous les pays qui participent au programme “vacances travail”. Vous y trouverez tous les prix, selon que vous décidiez ou non de partager votre chambre avec des voyageurs de toutes les nationalités dans des dortoirs ou alors plutôt une chambre simple ou double. Idem pour les commodités (toilettes, salle de bains) seul ou à plusieurs. En partageant, le système peut alors se révéler très économique. Certains passent parfois plusieurs semaines voire plusieurs mois dans la même auberge par simplicité (oui oui, du déjà vu). Il est ainsi parfois possible de troquer le coût du logement contre quelques heures de travail (ménage et/ou accueil).

Quoi qu’il en soit, tout au long de votre visa vacances travail, les auberges de jeunesse constitueront toujours une solution. Attention toutefois au pic de saisonnalité dans certaines destinations (comme à Queenstown en Nouvelle-Zélande ou en Australie à Sydney pendant la période du nouvel an comme sur la côte Est au printemps ou à l’automne)) où il devient (presque) obligatoire de réserver à l’avance. Généralement sûres, elles sont également très pratiques pour rencontrer d’autres voyageurs et partager ainsi ses bons plans, ses expériences. L’auberge de jeunesse met, dans la très large majorité des cas, des pièces communes à disposition comme la cuisine (plus ou moins bien équipée) et peut comprendre un salon avec une télévision et des ordinateurs avec accès à Internet. Conseil : si vous n’êtes pas motorisé et/ou que l’hiver se fait trop rude, mieux vaut dépenser quelques dollars dans une auberge. Un point de chute idéal aussi à l’arrivée ou en transit.

Vivre chez l’habitant : un bon moyen de découvrir les autochtones

Il est fréquent au cours d’un visa vacances travail de tester différentes formes d’hébergement. Parmi elles, vivre chez l’habitant est monnaie courante notamment en Nouvelle-Zélande ou en Australie si vous travaillez par exemple dans des fermes pour des missions de fruit-picking (la cueillette des fruits). Autre possibilité : réaliser du Woofing ou du HelpX, des services qui permettent d’être nourris et logés chez l’habitant en échange de travaux de différentes natures bien qu’il s’agit souvent de missions de jardinage. Une manière de découvrir la vie des locaux tout en améliorant son anglais. Conseil : si vous souhaitez vous immerger au plus près des autochtones et connaître leur mode de vie, séjourner chez l’habitant est la meilleure option.

Partager une colocation : surtout pour des séjours en ville

Les voyageurs les plus sédentaires d’entre vous opteront généralement pour la location d’une chambre voire d’un appartement en ville afin de rester quelque temps sur place pour travailler. Dans ce cas, les logements en colocation permettent de limiter les frais et de rencontrer d’autres VVTistes ou étudiants locaux ayant les mêmes besoins que vous. La colocation est idéale pour se familiariser à la vie sur place (easyroommate pour trouver dans les trois pays par exemple). Dans certains cas, elle nécessite un engagement à plus ou long terme bien que les Anglo-Saxons comme les Canadiens soient plus souples et habitués aux voyageurs passagers. Ils ne demandent donc pas toujours de prester des préavis très longs. Attention toutefois à bien vous renseigner. Les mails restant souvent lettre morte, il est souvent inutile de prospecter longtemps à l’avance avant votre départ mais plutôt par téléphone pour les contacter. Attendez d’être sur place pour connaître les quartiers, la ville mais aussi, vous constituer un réseau de connaissances. Conseil : optez pour la colocation lorsque vous vous poserez en ville pour travailler.

Vivre dans sa voiture ou son van pour les roadtrips

Partir en Visa Vacances Travail équivaut souvent à devoir acheter un van ou une voiture afin de trouver du travail et sillonner les routes en toute liberté (voir notre article sur comment bien acheter un van à l’étranger). Nombreux sont ceux à choisir un van qu’ils aménagent afin de dormir dans leur véhicule. Si le camping sauvage est interdit, autant profiter des nombreux campings très bien équipés et souvent peu chers que vous dénicherez. Certains backpackers disposent également d’emplacements pour installer une tente. Attention toutefois à bien planifier votre itinéraire, car au Canada comme en Nouvelle-Zélande, la rudesse de l’hiver n’est pas à prendre à la légère. Conseil : C’est souvent durant la partie vacances d’un VVT/PVT que ce type de logement est préconisé… Tout comme passer ses nuits à la belle étoile.

Conclusion : Nous ne saurions que trop vous conseiller de ne pas vous limiter à une seule option ! Partir en visa vacances travail, c’est oser l’aventure qui s’offre à vous en profitant des opportunités. Payants ou gratuits, tous les logements vous laisseront un souvenir inoubliable de votre voyage ! Il y a des personnalités faites pour vivre seules et d’autres en communauté. S’il est parfois nécessaire de forcer sa nature, il est tout aussi important de connaître ses limites. En fonction de son plan de voyage, le logement est aussi une affaire de bouche-à-oreille où le relationnel fonctionne à merveille, notamment dans le cadre de l’achat d’un van ou lors d’une recherche de colocation sympa et bon marché.

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