Vous vous demandez quelle est la différence entre le Visa Vacances Travail (VVT), le Permis Vacances Travail (PVT) ou le Working Holiday Visa (WHV) ? Aucune, tout simplement ! Trois appellations pour une même opportunité : obtenir un visa d’un an en Australie, au Canada, en Corée du Sud ou en Nouvelle-Zélande pour voyager et travailler lorsque nécessaire afin de financer votre séjour et subvenir à vos besoins.
La formule offre la possibilité aux 18 – 30 ans (au moment de la date de dépôt de la demande du VVT) de découvrir un pays en finançant son périple grâce à un ou plusieurs emplois sur place. Chaque année, plusieurs milliers de jeunes Belges tentent l’aventure. La raison ? Ce type de séjour offre une vraie immersion linguistique au plus près de populations habituées à voir débarquer des jeunes du monde entier, quelle que soit la destination.
Pour trouver un job dans ces pays, vous devez obligatoirement obtenir un numéro de Sécurité Sociale en plus du visa, c’est ce que vous fournira la job assistance au début de votre séjour VVT. Hormis en Australie, où vous ne pourrez pas travailler plus de 6 mois pour le même employeur au même endroit (sauf dans le secteur agricole), il n’y a pas de restriction particulière pour les deux autres destinations dans le cadre de votre séjour working holiday. Découvrez ici les récents changements pour le VVT en Australie.
Les sites officiels vous recommanderont de disposer d’un certain budget le temps de décrocher votre premier emploi et de toucher votre premier salaire. L’équivalent de € 1000 à € 1500 suffisent généralement comme réserve lorsque vous souscrivez à la Job assistance. Seul le Canada exigera de prouver que vous disposez d’une certaine somme (moins de € 2000), qui vous sera précisée durant le processus d’obtention du visa working holiday en ligne.
La règle en matière de déplacement pendant votre programme Working Holiday, c’est qu’il n’y en a pas ! Certains choisissent de limiter les déplacements au maximum pendant leur séjour, question d’argent ou d’envie, quand d’autres ne cessent de bourlinguer de ville en ville sac sur le dos. Autre possibilité, planifier un mix de ces deux types de voyage au cours de votre périple VVT pour envisager de vous poser pendant une période donnée dans un coin que vous appréciez particulièrement et ensuite, prévoir un itinéraire, un « road trip » dans le jargon des Pvtistes, pour découvrir d’autres horizons. Une formule qui convient aussi bien aux aventuriers débutants qu’aux baroudeurs confirmés !
Le profil type du Pvtiste ? C’est celle ou celui qui bosse beaucoup en début de séjour pour mettre des sous de côté pour pouvoir s’offrir un road trip en fin de séjour PVT.
Découvrez via ce film les témoignages de plusieurs jeunes partis avec un VVT.
Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
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