Argentine, Japon, Hong Kong, Chili, Colombie, Brésil… Nous ne disposons malheureusement pas d’un choix aussi varié que nos voisins français en matière de destinations de Visa Vacances Travail. Pour autant, si nous vous parlons très régulièrement de Visa Vacances Travail en Australie, de PVT au Canada ou bien encore de la Nouvelle-Zélande, il en existe deux autres pour nous les Belges : Le PVT Taïwan et la Corée du Sud. Deux pays qui gagnent à être connus et qui vous intéresseront sûrement si vous souhaitez vous éloigner des sentiers battus.
Première destination d’Asie disponible pour les Belges dans l’histoire du Visa Vacances Travail : Taïwan. Le PVT y est en effet entré en vigueur au printemps 2013 et permet à 200 âmes du Royaume d’explorer chaque année cette contrée abondant d’intérêts.
Quand on parle d’Asie, on évoque volontiers la Thaïlande, le Cambodge ou bien encore le Vietnam. Mais connaissez-vous vraiment Taïwan en dehors des clichés qui l’entourent (le fameux Made in Taiwan) ? Rares sont ceux à songer y passer des vacances. A tort, tant le pays regorge de paysages variés (dont 1 500 km de littoral), de montagnes (plus de cent sommets de plus de 3 000 mètres d’altitude), d’attractions et monuments en tout genre à découvrir. Parmi eux : le Parc national de Yangmingshan, Le National Palace Museum (sorte de Louvre taïwanais), les gorges de Taroko (pour sa rivière et ses canyons)…ainsi que les innombrables temples qui jonchent le pays
PVT Taïwan : un décor de rêve pour tous les goûts
Taïwan n’est pas non plus en reste en matière de variété de paysages. Si la côte Ouest est marquée par la présence de l’activité industrielle sur environ 500 km de long, le centre est quant à lui très montagneux. L’île est divisée par une chaîne de 270 kilomètres qui s’étend du Nord au Sud (la plus haute chaîne de montagnes d’Asie du Nord-est à l’exception du Tibet). Les forêts immenses y représentent un vrai repaire pour les randonneurs. Le Nord est parsemé de montagnes volcaniques ; la côte Ouest est plutôt plate et compte le plus d’habitants tandis que les plages de sable dominent le Sud. Bref, une diversité qui ne manquera pas de vous occuper. Autres atouts de la destination et pas des moindres : se déplacer à Taïwan est très facile, les prix dans l’ensemble sont raisonnables et le niveau de sécurité reste particulièrement élevé.
Conditions à remplir pour un PVT Taiwan
Les conditions pour un PVT Taïwan sont quasi identiques aux autres :
• Être âgé entre 18 et 30 ans et détenteur d’un passeport belge
• Ne pas être accompagné de personnes à charge
• Ne pas accepter d’emploi longue durée ou étudier plus de 6 mois
• Ne pas avoir bénéficié au préalable d’un PVT à Taïwan
• Avoir assez d’économie pour subvenir à ses besoins en début de séjour (2500€)
• Présenter un billet de retour ou disposer des ressources nécessaires pour en acheter un sur place
• Souscrire à une assurance maladie pour la durée du séjour
• Fournir un certificat de bonne conduite et le dossier médical des 3 mois précédant son arrivée
• passeport qui doit être valable jusqu’à 15 mois après la date de délivrance du visa
A noter que le PVT est valable pour 6 mois avec la possibilité de renouveler une fois la demande sur place. Les participants sont autorisés à travailler et/ou à suivre une formation pendant maximum six mois. Ce visa vous octroie également la possibilité d’entrer et sortir du pays à volonté. Un moyen parfait de s’offrir quelques périples aux alentours comme en Chine par exemple.
Pour faire sa demande de PVT à Taïwan, rendez vous sur le site Visawebapp et complétez le formulaire d’inscription
Travailler lors de son Visa Vacances Travail à Taïwan
Si le mandarin peut sembler représenter une barrière pour travailler sur place, Taipei compte beaucoup d’entreprises et donc davantage de professionnels parlant anglais en particulier dans les domaines liés aux activités avec l’étranger. La restauration ou la fonction de professeur de langue constituent d’autres alternatives pour trouver des jobs. Attention, notez que la culture du recrutement est largement différente de l’Europe ou dans les autres destinations de PVT. Il peut ainsi être intéressant de réaliser une formation interculturelle et de civilisation afin de bien assimiler le pays et ses méthodes.
En résumé, Taïwan se veut un point de chute à mi-chemin entre culture chinoise et religions asiatiques. De quoi profiter des charmes de l’Extrême-Orient en toute tranquillité dans un pays qui mêle nature subtropicale, petites îles coralliennes et volcaniques à quoi s’ajoutent quelques stations balnéaires notamment au sud près de Kenting National Park.
Se rendre à Taïwan en Visa Vacances Travail c’est donc l’occasion :
• de prendre des cours de langue : Mandarins, Taïwanais ou Anglais
• travailler sur place dans une entreprise et découvrir une nouvelle culture (6 mois maximum chez un même employeur)
• visiter les pays de la région en faisant de Taïwan son camp de base
• visiter Taipei, la capitale en pleine effervescence du nord de l’île, dominée par « Taipei 101 », l’un des plus hauts gratte-ciels du globe (508mètres de hauteur)
Vous pouvez toujours commencer par un PVT Canada, un working Holiday en Nouvelle-Zélande ou en Australie avant de vous lancer dans cette aventure plus originale 😉
Le saviez-vous ?
Tour à tour entre les mains de la Chine de 1683 à 1895 puis cédé au Japon, Taïwan bénéficie d’un indépendance administrative et politique par rapport à la République populaire de Chine (la Chine). Son indépendance officielle n’a pour l’heure jamais été proclamée ni votée.
Nous avons bien reçu votre formulaire. Nous serons en contact très prochainement avec vous pour organiser votre séjour visa vacances-travail
L'équipe VVT
Mentions légales de visavacancestravail
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Contact : [email protected]
Responsable des données : Pascal Carré
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Licence d’agence de voyages : A 1602
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Assurance RC professionnelle : CBC, contrat numéro 28.580.042-0600.
Garantie financière : AMLIN, n° entreprise : 0416.056.358, Avenue Roi Albert II 37, 1030 Bruxelles. Tel +32 (0)2 894 70 00, contrat numéro : LXX05036
Etudier pendant et après un VVT
Etudier pendant un séjour Visa Vacances Travail
Suivre des cours d’anglais est l’option la plus populaire et la plus accessible pendant votre séjour Visa Vacances Travail. Typiquement, nos participants suivent 4 à 12 semaines de cours de langues au début de leur séjour, soit des cours à temps partiel ou des cours intensifs.
Envie de rester dans le pays et entreprendre des études supérieures ?
Vos options
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Suivre des cours d’anglais
Il est possible de vous inscrire pour des cours d’anglais de longue durée et obtenir un visa étudiant qui vous permettra de travailler en dehors de cours de langue (durée de max. 24 h/sem. en Australie et 20h en Nouvelle-Zélande et au Canada)Vous pouvez choisir entre des cours intensifs ou des cours à temps partiel, des cours d’anglais des affaires, des cours de préparation aux tests d’anglais (IELTS, etc.).
De nombreuses écoles de langue proposent des programmes adaptés aux besoins des titulaires d’un WHV. Visavacancestravail.be pourra vous conseiller à ce sujet. De nombreuses écoles sont reprises sur ce site.
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Suivre une formation professionnalisante
Plusieurs pays dont l’Australie et le Canada offrent des formations professionnalisantes d’un semestre ou une année avec relativement peu d’heures de cours vous donnant la possibilité de travailler sur le côté.Ces formations sont généralement proposées dans les domaines suivants : Marketing digital, Business, Tourisme, Management de Projets, Innovation et Entreprenariat, Communication, etc.
- S’inscrire dans une université
S’inscrire dans une université relève souvent du parcours du combattant quand on veut étudier à l’étranger. Il faut s’y prendre à l’avance et ne pas attendre le dernier mois de votre séjour Visa Vacances Travail. Il faudra tenir compte aussi des dates de rentrée universitaire (février et juillet en Australie, août/septembre et janvier au Québec, etc.).
Dans le cadre d’une inscription universitaire, il faut soumettre des documents tels que votre CESS (ou BAC) pour une inscription en bachelier (licence), votre diplôme de bachelier pour un Master, une lettre de motivation dans la majorité des cas, une ou plusieurs lettres de recommandation, parfois un CV.
- Study Experience : LE partenaire de Visavacancestravail.be
Study Experience est une agence spécialisée dans l’accompagnement des étudiants pour leur(s) projet(s) d’études à l’étranger. Study Experience pourra vous aider, même à distance, tout au long du processus d’admission dans une université, que ce soit dans le pays où vous vous trouvez actuellement ou dans un autre pays. Plus d’une dizaine de destinations dont bien sûr l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande mais aussi le Royaume-Uni, l’Irlande, les Pays-Bas, l’Espagne, etc.
Nous vous recommandons de penser à votre projet min. 6 mois avant l’échéance de votre Visa Vacances Travail mais Study Experience pourra vous aider si vous vous prenez plutôt en dernière minute.
Conseils pour bien choisir votre option:
Ressources utiles
Conditions générales et particulières
CONDITIONS GÉNÉRALES
Visavacancestravail.be est géré par la société Languages & Travel. Ayant le statut d’une agence de voyages (lic. A 1602), nous adhérons aux conditions générales des agences de voyages. Au terme de la loi, Languages & Travel est un organisateur de voyages.
CONDITIONS PARTICULIÈRES DE LANGUAGES & TRAVEL
Inscription et paiement
Pour vous inscrire à un séjour linguistique organisé par Languages & Travel, il vous suffit de compléter notre bulletin d’inscription en ligne. Votre inscription sera traitée après réception d’un acompte d’au moins 30% de la somme totale (référez-vous au devis que nous avons éventuellement fait parvenir) avec un min. de € 2000. Votre acompte devra impérativement couvrir le montant de vos vols. Le solde doit être payé au plus tard un mois avant le départ pour nous permettre à notre tour de payer tous les prestataires en rapport avec votre séjour Visa Vacances Travail.
En cas d’inscription tardive (moins d’un mois avant le départ), le montant total de la facture sera réglé au moment de l’inscription.
Les prix
Nos prix sont fixés en général pour toute une année calendrier sauf en cas de révision en cours d’année du fait de variations sensibles dues aux cours de change des devises étrangères contre Euro. Ces prix sont indiqués sur le devis fourni.
Certaines activités et excursions sont facultatives et proposées au prix coûtant par nos partenaires écoles de langues. Les repas sont inclus ou ne le sont pas en fonction de la formule d’hébergement choisie.
Les assurances voyages… parce que cela n’arrive pas qu’aux autres !
Même si Languages & Travel et ses partenaires mettent tout en œuvre pour rendre votre séjour le plus sûr et le plus confortable possible, une maladie ou un accident n’est jamais à exclure. Cela peut même arriver avant votre départ. Languages & Travel a choisi pour vous les meilleures polices d’assurance sur le marché qui limiteront les frais :
- Avant votre départ : assurance annulation
Imaginez-vous un instant que vous tombiez malade juste avant votre départ et que vous soyez dans l’incapacité de partir. Pas de panique. Grâce à l’assurance annulation , la totalité des sommes versées et / ou dues, à l’exception de la prime d’assurance elle-même, vous sera remboursée. L’assurance annulation est d’office incluse dans tous nos programmes, facile, non ? Les cas de fraude, double réservation, fausses informations ne sont pas couverts par l’assurance annulation.
- Pendant votre séjour : l’assurance voyage
Vous êtes malade sur place et consultez un médecin. Vous avez un accident, quel qu’il soit. Vous causez des dommages à un tiers (personne ou matériel). Cela peut se produire surtout si vous partez pour un séjour de longue durée, si vous vous déplacez sur place, si vous exécutez des jobs ou un stage. Rassurant de savoir que votre assurance voyage fera ce que vous attendez d’elle : prendre en charge les soins médicaux (gardez les reçus si vous devez avancer l’argent), couvrir les frais d’hospitalisation, vous rapatrier, etc.
Passeport et visas
Hors Europe, il faut disposer absolument d’un passeport en cours de validité. Ce document s’obtient auprès de l’administration communale dont dépend votre domicile. Comptez une bonne semaine à 10 jours pour obtenir ces documents (voir plus en France).
Tenez compte du temps nécessaire pour obtenir votre visa visa vacances travail au moment de votre inscription :
Le visa vacances travail Australie s’obtient généralement dans les 24 heures.
Le visa vacances travail Nouvelle-Zélande s’obtient généralement sous 48-72 heures.
Le visa vacances travail Canada est le + capricieux. Comptez min. 5 semaines lorsque le quota pour les Belges / Français est disponible.
Tous les frais de passeport sont à votre charge. Languages & Travel ne pourra intervenir en votre place que pour obtenir votre visa vacances travail à destination de l’Australie si vous êtes de nationalité européenne. Le visa vacances travail Australie et la prise en charge par nos soins est inclus d’office dans tous nos packs Australie. Si vous disposez déjà du visa vacances travail Australie, nous le décompterons du pack choisi.
Assurance insolvabilité financière
Languages & Travel, le preneur d’assurance, est assuré auprès de la compagnie d’assurance AMLIN contre le risque de sa propre insolvabilité financière. Ceci est une obligation légale pour toute agence de voyages belge. Ceci veut dire concrètement qu’AMLIN garantit la poursuite de votre voyage ou votre rapatriement en cas de faillite de Languages & Travel pendant votre séjour. Toute somme payée avant votre départ à Languages & Travel vous serait remboursée toujours dans le cas où Languages & Travel ne pourrait plus respecter ses obligations envers vous avant le début de son voyage. Une raison de plus de faire confiance à Languages & Travel plutôt qu’à un organisateur qui travaillerait sans le statut d’agent de voyages, ce qui illégal.
Dans la quête d'une expérience enrichissante culturellement, personnellement et professionnellement après l'obtention du diplôme d'études secondaires, des alternatives originales et captivantes s'offrent à vous. Parmi elles, le Visa Vacances Travail (VVT) Ci-dessous, nous vous avons résumé les avantages et les opportunités qu'offre le permis vacances-travail par rapport à la traditionnelle "seconde rhéto".
- Ouverture vers de nouvelles cultures
Alors que la seconde rhéto offre une continuité académique, le VVT ouvre les portes vers des expériences multiculturelles. Voyager et vivre en Australie, au Canada ou en Nouvelle-Zélande permet aux jeunes de se confronter à l'anglais, à des coutumes et traditions différentes. Cela favorise une ouverture d'esprit et une compréhension interculturelle, des compétences de plus en plus recherchées dans un monde globalisé. Suivre des cours d'anglais est bien sûr bénéfique , mais quelques semaines ou mois au début de votre séjour suffiront amplement !
- Développement de compétences professionnelles
Si la seconde rhéto se concentre principalement sur une expérience scolaire, le VVT offre aux jeunes l'occasion de développer des compétences professionnelles et personnelles de manière pratique. Travailler à l'étranger implique souvent d'apprendre à se débrouiller, de s'adapter à un nouvel environnement de travail, de collaborer avec des collègues internationaux et de résoudre des problèmes concrets. Ces compétences, telles que la communication interculturelle, l'adaptabilité, la flexibilité et la résolution de problèmes, sont hautement valorisées sur le marché du travail.
- Amélioration des compétences linguistiques
Bien que la seconde rhéto fournisse la possibilité de pratiquer une langue étrangère en milieu scolaire, rien ne vaut l'immersion dans un pays étranger pour améliorer ses compétences linguistiques. En vivant au quotidien dans un pays dont la langue est différente de la sienne, on est contraint d'apprendre à communiquer efficacement. Cela permet d'acquérir une maîtrise plus rapide et plus profonde d'une langue étrangère.
- Découverte de soi et développement personnel
Le VVT représente une opportunité unique de se découvrir soi-même en sortant de sa zone de confort. En faisant face à de nouveaux défis et en s'adaptant à des situations inconnues, les jeunes acquièrent une confiance en soi renforcée et une meilleure connaissance de leurs forces et faiblesses. Cette expérience de développement personnel peut être plus significative et mémorable qu'une année scolaire supplémentaire.
- Élargissement du réseau professionnel
Le réseau de contacts est essentiel dans le monde professionnel moderne. En travaillant à l'étranger grâce au VVT, les jeunes ont l'occasion de rencontrer des professionnels du monde entier. Ces connexions peuvent ouvrir des portes pour des opportunités de carrière futures, que ce soit dans le pays d'accueil ou dans leur pays d'origine.
6. Parlons PRIX aussi !
Il est possible de faire une année Visa Vacances Travail à partir de € 2250 (pack basic Canada) alors qu'il vous faudra débourser plus de € 10.000 pour effectuer une seconde rhéto. Le tableau ci-dessous reprend les avantages du Visa Vacances Travail versus une seconde rhéto :
Tout est dit : le Visa Vacances Travail se présente comme une alternative passionnante et enrichissante à la traditionnelle seconde rhéto. Il offre aux jeunes la possibilité de découvrir de nouvelles cultures, de développer des compétences professionnelles, de s'améliorer linguistiquement, de se découvrir eux-mêmes et d'élargir leur réseau professionnel. Cette expérience unique peut être un tremplin vers une vie professionnelle et personnelle réussie et gratifiante. Si vous êtes un jeune diplômé à la recherche d'aventure et de développement, le VVT pourrait bien être la meilleure décision que vous prendrez pour votre avenir.
Découvrez Comment Languages & Travel vous aide à partir sereinement et à faire de votre expérience un succès indéniable !
CALGARY, VILLE MODERNE ENTRE MONTAGNES ET PLAINES
Localisation : Calgary est stratégiquement positionnée au pied des majestueuses "Rockies", dans la province de l'Alberta.
Caractéristique distinctive : Chaque année, Calgary se distingue par son dynamisme économique et sa qualité de vie, attirant l'attention en tant que l'une des villes les plus prospères et agréables à vivre au Canada.
Climat : Calgary bénéficie d'un climat semi-aride, caractérisé par des hivers froids et secs, ainsi que des étés ensoleillés et chauds. La ville est également réputée pour son ensoleillement abondant.
Population : Avec une population de plus d'un million d'habitants, Calgary est une métropole cosmopolite où convergent des individus aux horizons variés, contribuant à la diversité culturelle de la ville.
Points d'intérêt : Le Calgary Tower, le Stampede de Calgary (festival annuel célébrant la culture western), le parc national de Banff à proximité, le musée Glenbow, le Calgary Zoo, et le quartier historique de Stephen Avenue Walk figurent parmi les attractions incontournables de la ville.
Opportunités professionnelles : Les entreprises florissantes et les projets innovants font de la ville un pôle économique dynamique, attirant des talents du monde entier. Etant un point d'entrée pour visiter les environs, il y a beaucoup d'opportunités dans le tourisme et la restauration également.
QUE FAIRE À Calgary ET AUX ALENTOURS ?
L’école de langue Global Village Calgary
Les instructeurs d'anglais certifiés, encouragent un fort sentiment de communauté dans leurs cours d'anglais et les étudiants se font rapidement des amis du monde entier.
Equipements: classes lumineuses et équipées de technologies, coin cuisine spacieux, pièces communes avec jeux et plus
Âge moyen : 30 ans
Taille moyenne des classes :
13 étudiants
- Cours de préparation à l'IELTS : 20, 25 ou 30 leçons par semaine
- Anglais des affaires : 20 leçons de cours d'anglais général ou d'IELTS + 5 ou 10 leçons d'anglais des affaires
- Cours en ligne possibles
Cours de 50 minutes.
Il est également possible de ne choisir que les cours optionnels pour avoir des cours l'après-midi ou le soir.
Tab Content
Toutes nos destinations
Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
Inscription en ligne !
Enfin prêt ? Félicitations !
VICTORIA, UNE VILLE AU MILIEU
DE LA NATURE DE L'ILE DE VANCOUVER
Localité : Victoria se situe à l'extrémité sud de l'île de Vancouver, dans la province de Colombie-Britannique.
Signe distinctif : Chaque année, Victoria est saluée pour sa qualité de vie exceptionnelle, se hissant régulièrement parmi les destinations les plus agréables au monde.
Climat : Tempéré/océanique. Les saisons estivales et hivernales à Victoria sont caractérisées par leur douceur; climat le plus doux du Canada
Population : Plus de 90 000 habitants contribuent à l'ambiance accueillante de la ville.
Les incontournables : Dallas Road Waterfront, le Parlement de la Colombie-Britannique, le Royal BC Museum, le marché de Victoria, Beacon Hill Park, Inner Harbour, Butchart Gardens.
Type de travail : Victoria offre une variété d'opportunités professionnelles, notamment dans les domaines de la vente, de l'accueil, des services portuaires, du service à la clientèle, de la restauration, de la cuisine, de l'administration, de l'entretien, de la réception, et bien d'autres. D'autres villes très touristiques telles que Tofino offrent beaucoup d'opportunités également.
QUE FAIRE À VICTORIA ET AUX ALENTOURS ?
La présence de 460 kilomètres de pistes cyclables souligne l'importance accordée à une vie active et à la connectivité écologique dans la région. La possibilité de se déplacer facilement à pied renforce l'idée d'une ville à taille humaine, favorisant une atmosphère conviviale.
Le port, avec ses bâtiments historiques tels que le Musée Royal de la Colombie-Britannique, est un point central de l'activité de la ville.
La scène culturelle dynamique contribue également au charme de Victoria, offrant aux résidents et aux visiteurs un large éventail d'activités et d'événements. Dans l'ensemble, la combinaison d'un paysage spectaculaire, d'infrastructures favorables à la mobilité et d'une vie culturelle vibrante fait de Victoria une destination prisée pour ceux qui recherchent une qualité de vie élevée.
L’école de langue Global Village Victoria
Les instructeurs d'anglais certifiés, encouragent un fort sentiment de communauté dans leurs cours d'anglais et les étudiants se font rapidement des amis du monde entier.
Equipements: classes lumineuses et équipées de technologies, coin cuisine spacieux, pièces communes avec jeux et plus
Âge moyen : 25,5 ans
Taille moyenne des classes :
13 étudiants
- Cours de préparation à l'IELTS : 20, 25 ou 30 leçons par semaine
- Anglais des affaires : 20 leçons de cours d'anglais général ou d'IELTS + 5 ou 10 leçons d'anglais des affaires
- Cours en ligne possibles
Cours de 50 minutes.
Il est également possible de ne choisir que les cours optionnels pour avoir des cours l'après-midi ou le soir.
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Séoul, entre tradition et modernité
Localité : Au cœur de la région de Gyeonggi, dans la province de Gyeonggi, Séoul est souvent désignée comme le pouls vibrant de la Corée du Sud.
Signe distinctif : Le palais Gyeongbokgung, une merveille architecturale ancienne qui incarne l'histoire riche de Séoul.
Climat : Séoul présente un climat tempéré, caractérisé par des hivers froids et secs, ainsi que des étés chauds et humides. Les périodes idéales pour visiter sont le printemps (avril à juin) et l'automne (septembre à novembre).
Population : Séoul compte environ 9,7 millions d'habitants, faisant d'elle une métropole animée et cosmopolite.
Les incontournables : La tour N Seoul, le marché de Namdaemun, le quartier historique de Bukchon Hanok Village, le parc olympique, le palais Changdeokgung, le quartier branché de Gangnam, etc.
Type de travail : Séoul offre des opportunités professionnelles variées, notamment dans des entreprises renommées comme Samsung et LG. Certains postes sont accessibles même pour ceux ayant une connaissance limitée de la langue coréenne, couvrant des tâches simples telles que l'emballage de produits, le chargement et le déchargement de marchandises, ou encore l'étiquetage de produits.
QUE FAIRE À SEOUL ET AUX ALENTOURS ?
Aux abords de Séoul, visitez les villages traditionnels de Bukchon Hanok et Namsangol Hanok, préservant l'architecture coréenne ancienne. Montez au sommet de la montagne Bukhansan pour une vue panoramique de la ville. À Incheon, explorez Chinatown et la ville historique. Busan, accessible en train, offre des plages sublimes et des marchés animés.
Les transports efficaces facilitent les déplacements. Le train lent vers Busan prend 2h30 et pour Incheon, 1h30. Depuis l'aéroport Incheon, des vols abordables desservent Jeju, Tokyo, la Chine et l'Asie du Sud-Est..
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Daegu, la destination vibrante de la Corée
Localité : Au cœur de la région de Gyeongsang, dans la province de Gyeongsang du Nord, Daegu est souvent surnommée la "Cité des anges" en Corée du Sud.
Signe distinctif : "Duryu Park", le principal parc de la ville offrant un équilibre parfait entre la nature et l'urbanisme.
Climat : Tempéré, avec des hivers froids et secs, et des étés chauds et humides. Les périodes idéales pour visiter sont le printemps (avril à juin) et l'automne (septembre à novembre).
Population : Daegu compte environ 2,4 millions d'habitants.
Les incontournables : Palgongsan Mountain, Donghwasa Temple, Daegu Arboretum, Seomun Market, Kim Gwang-seok Street, Apsan Park, E-world Theme Park, etc.
Type de travail : Il existe à Daegu ou dans les environs plusieurs grandes entreprises telles que Samsung et Coupang qui embauchent du personnel ayant peu ou pas de connaissance de la langue coréenne pour des tâches simples telles que l'emballage de produits pour l'expédition, le chargement et le déchargement de marchandises ou l'étiquetage de produits.
QUE FAIRE À DAEGU ET AUX ALENTOURS ?
Aux abords de Daegu, on découvre des villages et des villes revêtant une importance historique, des temples bouddhistes, ainsi que des montagnes telles que Palong-san, offrant des destinations intéressantes pour les touristes.
Les villes de Séoul et Busan sont facilement accessibles en train. (Le trajet en train lent vers Séoul dure 4 heures et coûte environ 16 EUR ; le train rapide prend 1h45 min pour environ 25-32 EUR ; le trajet en train lent vers Busan est de 1h30 min pour environ 5,60 EUR ; le train rapide prend 45 min pour environ 9-12 EUR). Depuis l'aéroport international de Daegu, des vols bon marché sont disponibles vers Jeju, Tokyo, la Chine et l'Asie du Sud-Est. Grâce au programme de nos partenaires à Daegu, vous bénéficierez d'une introduction à la culture et à la société coréennes.
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Faire sa demande de PVT Nouvelle-Zélande : suivez le guide !
vérification de votre admission au PVT Nouvelle-Zélande
Cela nécessite également de disposer des ressources financières suffisantes pour subvenir à vos besoins au début du séjour, soit 4 200 dollars néo-zélandais (environ 2 500 Euros selon les taux de change en vigueur au moment de votre inscription), de posséder obligatoirement une assurance voyage et enfin, de répondre aux critères de santé requis.
remplir sa demande de VVT Nouvelle-Zélande
Suivant les personnes, l'inscription durera entre 45 minutes et 2h. N'oubliez pas que vous disposez du temps que vous souhaitez pour la compléter. Puisqu'il n'y a pas de quota de places disponibles, vous n'êtes donc pas obligé de la remplir d'un coup et pouvez y revenir autant de fois que vous le désirez. Pour valider votre demande, vous devrez payer les frais du VVT ainsi que fournir des informations personnelles. Notre tutoriel VVT Nouvelle-Zélande va vous aider.
Pensez donc à vous munir :
- De votre passeport et d'une seconde pièce d'identité
- D'une carte bancaire pour le paiement en ligne
Pour démarrer, rendez vous sur le site officiel de l'immigration néo-zélandaise
Une fois en ligne, allez en bas de page puis cliquez sur le bouton "Apply Now". La mention "Login or Create an Account" apparaît, cliquez dessus.
Créez d'abord votre compte
Pour faire la demande de votre visa, vous devez d'abord vous créer un compte. Vous pourrez alors vous connecter. Votre identifiant vous servira à vérifier l'état de votre demande par la suite.
A l'étape suivante, vérifiez que la mention Working Holiday Visa est bien sélectionnée sous l'onglet "Select from the list" à partir du menu déroulant. Puis, rendez vous en bas de page dans la rubrique New users pour créer votre compte en cliquant sur "create an account".
Remplissez ensuite les informations sur la page Registration Details. Une fois terminé, cliquez sur Register, vous recevrez alors un mail de confirmation.
Dans le mail de confirmation, cliquez sur le lien faisant suite à la phrase : To manage your homepage and access these tools, log in to Online Services (https://www.immigration.govt.nz/secure/default.htm.).
Commencez votre demande de PVT Nouvelle-Zélande
Une fois connecté, allez sur la barre latérale qui se trouve à gauche comprenant l'intitulé "Online Service". Pour commencer votre demande de VVT, cliquez sur l'onglet Working Holiday. Vous pouvez désormais commencer à remplir votre candidature après avoir sélectionné Belgique dans la fenêtre qui s'est ouverte, puis cliqué sur Apply Now.
Remplissez ensuite soigneusement chacune des 4 catégories : Personal - Health - Character - Working Holiday Specific
Attention, la rubrique Personal comprend 3 sous-rubriques : Personal Details - Identification et Occupation Details. Sachez que vous n'êtes pas obligé de remplir la rubrique Occupation details.
En cas de message d'erreur
Si vous rencontrez un message d'erreur à la fin de votre demande ou si un autre onglet "adviser" apparaît, vous avez peut-être coché une case qu'il ne fallait pas au début à savoir : "yes" à la question "Are you represented by an immigration adviser?" (indiquez Yes si, et seulement si, vous faites appel à un conseiller en immigration pour vous aider dans votre inscription). Si vous rencontrez ce problème, il suffit de revenir en arrière. Décochez alors cette case. En principe, l'onglet "adviser" devrait disparaître.
Une fois que vos quatre rubriques possèdent des icônes vertes à la place des croix rouges, cliquez sur SUBMIT. Une nouvelle page s'ouvre, cochez toutes les cases puis appuyez sur "Pay Now". Une fois votre paiement terminé (coût du visa : NZD 455, soit environ € 275), vous êtes renvoyé sur le site de l'immigration néo-zélandaise. Votre demande va être examinée. L'immigration néo-zélandaise prendra une décision concernant votre demande de PVT Nouvelle-Zélande.
La Belgique dépend de l’Ambassade néo-zélandaise à Londres. Vous le recevrez normalement entre 1 à 2 semaines après avoir introduit votre demande.
La validation par l'immigration néo-zélandaise
imprimer votre VVT
Retournez enfin sur le site de l'immigration, cliquez sur Login en haut à droite de la page puis sélectionnez Working Holiday Scheme. Dans la zone "My Application" de la colonne de droite, vous pouvez accéder à votre PVT et l'imprimer. Le douanier le contrôlera lors de votre entrée dans le pays. Conservez ce document en plus de votre passeport pendant toute la durée de votre PVT !
Prolonger son VVT en Nouvelle-Zélande
A la fin de votre PVT, vous pouvez décider de le prolonger trois mois supplémentaires si, et seulement si, vous pouvez justifier de trois mois de travail au minimum effectués dans les domaines de l’horticulture et/ou de la viticulture.
Dans ce cas précis, vous êtes éligible au Working Holidaymaker Extension Visa. Cette demande doit être envoyée directement à un bureau d’Immigration en Nouvelle-Zélande (impossible de la faire en ligne), accompagnée de plusieurs pièces :
- Le formulaire SSE Work Visa Application NZ (form 1153) rempli et signé
- Vos preuves des travaux dans l’horticulture et/ou la viticulture
- La preuve d’achat du billet d'avion retour (ou des fonds nécessaires pour vous le procurer)
- Le paiement des frais demandés (NZD 455, soit env. € 275)
Attention que si vous avez acheté un billet aller-retour via un de nos packs, le retour ne peut pas être postposé au-delà d'une année. Cette extension de 3 mois n'est, à notre avis, dès lors intéressante que si vous nous avez demandé un billet aller simple et non un aller-retour.
Nous espérons que notre tutoriel VVT Nouvelle-Zélande vous aura aidé. N'hésitez pas à nous faire part de vos remarques et contactez-nous dès que vous avez obtenu votre Visa Vacances Travail Nouvelle-Zélande pour que nous vous aidions à réaliser votre voyage en Nouvelle-Zélande.
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Foire aux Questions du VVT
Hôtellerie/restauration, travail au sein d’une ferme, cueillette de fruits (fruit picking ou packaging), main-d’œuvre ouvrière/bâtiment, travail en stations, services administratifs (office work)... Les emplois dans le cadre du Working Holiday Visa sont rarement des postes à haute responsabilité mais grâce à ces jobs, nous vous le garantissons, vous apprendrez à vous débrouiller, vous acquerrez de l'expérience, vous saurez rebondir en toute circonstance, vous gagnerez en maturité, bref, vous reviendrez grandi de votre expérience à l'étranger.
La question revient souvent, nous nous devions donc d'y répondre avec la plus grande transparence. Suivre des cours d'anglais n’est pas obligatoire, mais fortement conseillé. Le Visa Vacances Travail a pour objectif d'une part de vous faire découvrir une (ou plusieurs) destination(s) mais aussi, de vous faire progresser en anglais. En fonction de votre niveau de départ mais aussi de votre envie de trouver rapidement un job ou non (meilleur est votre niveau d'anglais, plus la palette des jobs sera grande. Travailler à la réception d'un hôtel par exemple exige de bonnes connaissances de l'anglais). Prendre des cours d'anglais peut s'avérer être un véritable plus tout en vous familiarisant avec l’accent du cru afin de communiquer avec les locaux, le propriétaire de votre logement ou acheter une voiture, par exemple. Vous mettrez aussi la période initiale des cours d'anglais à profit pour commencer à chercher du travail, avec l'aide de notre Job Assistance bien sûr. Vous vous ferez de nouveaux amis avec qui, il y a fort à parier, vous voyagerez ensuite.
Chez VisaVacancesTravail.be, nous considérons que deux semaines est un strict minimum pour s'améliorer dans la langue de Shakespeare. L'idéal consiste à asseoir son niveau en poursuivant quatre semaines de cours avant de partir à l'aventure. Le temps aussi de prendre vos marques et de rencontrer des personnes de tous les continents.
Votre Visa court pour un an, mais vous n'êtes bien entendu pas obligé de rester toute cette période. S'il est possible de prolonger votre VVT en Australie et en Nouvelle-Zélande sous certaines conditions, sachez qu'une fois le visa obtenu, vous ne pourrez pas avoir de second Visa. Vous avez un an pour vous rendre dans le pays une fois le permis vacances travail accordé. C'est davantage une réflexion à mener en amont par rapport à la poursuite d'études, le budget disponible et bien entendu votre attirance pour la destination qui vous conduira à rester 3, 6 ou 12 mois. Les billets de retour pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande étant modifiables une fois gratuitement (une deuxième fois moyennant une compensation financière), pas la peine de se fixer à tout prix une date de retour (hors supplément éventuel de changement de classe de réservation s'il ne devait plus y avoir de places au tarif "jeunes").
Ces trois destinations ne nécessitent aucun vaccin ou traitement particulier que ce soit une fois sur place ou pour y entrer. Seules quelques précautions d'usage s'avèrent nécessaires et plus particulièrement pour l'Australie où les rayons ultraviolets sont très puissants. Le pays compte le nombre le plus élevé au monde de cancers de la peau. Pensez à bien emporter chapeau/casquette, lunettes de soleil et crème solaire et en faire un réflexe une fois sur place. Pensez également à emporter avec vous des répulsifs contre les insectes. Bonne nouvelle, quel que soit le pays, les systèmes de santé sont de très grande qualité. Un rappel tétanos est recommandé si vous envisagez de travailler avec des animaux (fermes, ranchs, parcs nationaux et privés...).
Le dollar néo-zélandais, le dollar australien et le dollar canadien n'ont pas la même valeur. Le cours des monnaies varie en permanence, impossible donc de déterminer de manière fixe des taux de change. Avec l'Euro, vous bénéficiez quoi qu'il en soit d'une monnaie forte qui vous conférera dans ces trois pays un pouvoir d'achat tout à fait acceptable. A noter qu'à la date du 20/06/17, le cours des 3 dollars évaluait entre € 0,60 et € 0,70.
Quel que soit votre projet de voyage, la réponse est oui. Rares sont ceux qui trouvent du travail le jour de leur arrivée ou avant le départ. De toute façon, les trois pays recommandent que vous ayez en votre possession une certaine somme pour couvrir vos dépenses lors des premières semaines. En réalité, seul le Canada procède à des vérifications au moment de l'obtention de votre visa vacances travail. Si la job assistance comprise dans nos packs facilite amplement votre recherche d'emploi, il est toutefois impératif de pouvoir subvenir à vos besoins lors des premiers jours/semaines. De notre côté, nous recommandons de disposer idéalement d'une somme de € 1000 à € 1500. Certains d'entre vous sont partis avec moins de € 500... et s'en sont très bien sortis !
Si les locaux sont habitués à devoir dialoguer avec des jeunes du monde entier, il va sans dire qu'au plus votre niveau d'anglais sera meilleur, au plus vous multiplierez vos chances de trouver un job. Et de meilleure qualité qui plus est. Pour travailler dans les champs pour la cueillette de fruits ou légumes, un niveau somme toute basique suffira. Dans l'hôtellerie et la restauration, tout prétendant doit être en mesure de pouvoir comprendre les requêtes des clients et prendre une commande. Pour travailler dans la vente, le niveau devra être suffisamment élevé pour dialoguer avec les habitants du pays. Certains d'entre vous sont partis en sachant juste dire "yes" et "no" et s'en sont très bien sortis. A vous de voir !
Dans quelle ville arriver ? Faut-il prendre un billet d’avion aller-retour ou juste un aller ? Quel type de Visa faut-il ? Dois-je prendre des cours ? Quid du compte en banque ? VisaVacancesTravail.be vous propose deux formules : le pack "basic" et le pack complet. S'il est possible d'entreprendre les démarches seul, celles-ci peuvent s'avérer fastidieuses. Assurances, billets d'avion, réservation de l'école, aide à la recherche d'emploi... Ces packs sont avant tout destinés à vous fournir une aide précieuse pour ne pas rencontrer de difficultés lors de toutes ces étapes, ni perdre trop de temps et éviter d'autre part de vous soucier en permanence de nombreuses questions entourant votre voyage. Faites le calcul par vous-même, aussi bien en termes de temps passé, de rapidité pour trouver un travail et de sérénité d'esprit, vous serez gagnant avec la Job Assistance !
Affirmatif, le permis de conduire international est obligatoire si vous souhaitez conduire dans ces trois pays. Pour l’obtenir, rendez-vous à la commune de votre lieu de résidence. Sur simple présentation de votre carte d'identité, de votre permis de conduire ainsi qu'une photo d'identité récente, les autorités vous le délivreront. Le permis de conduire international est valable pour une période de trois ans à partir de la date d'octroi. Il coûte en moyenne € 25.
Un accord entre les mutuelles australienne et belge. Résultat, les soins de santé en Australie sont accessibles pour les assurés belges. Grâce à Medicare, vous avez le droit en cas d'hospitalisation à des soins gratuits dans les hôpitaux publics si vous indiquez que vous souhaitez être soigné comme patient Medicare. En tant que patient privé, les frais restent à votre charge. Lors d'achat de médicaments : dans certains cas, il est possible que vous deviez encore payer une quote-part personnelle. Pour une consultation chez un médecin généraliste ou un spécialiste : soit vous demandez le remboursement dans un bureau Medicare, soit le médecin envoie directement la note au bureau Medicare et vous payez uniquement une éventuelle quote-part personnelle.
Attention, il n' aura aucune intervention pour les prestations suivantes :
- le transport en ambulance
- les soins dentaires
- le rapatriement
D'où l'importance de souscrire une assurance pour les cas mentionnés ci-dessus !
C'est simple, quel que soit le pays, il suffit d'envoyer un courrier à l'adresse que nous vous indiquerons et d'envoyer les justificatifs suivants, dans un délai maximum de 3 mois suivant la date d'expiration du contrat :
- votre numéro de contrat (noté dans votre contrat)
- les originaux des factures des médecins et des établissements médicaux
- les ordonnances mentionnant les médicaments correspondants
En cas d'hospitalisation urgente et pour des montants plus élevés, il y a dans ce cas contact entre l'hôpital et la compagnie d'assurance qui paiera tous les frais (dans le cas de l'Australie, Medicare prend en principe le relais d'abord et l'assurance privée couvre tout ce que Medicare ne couvrirait pas).
Pour toute question sur ce contrat, pour la prise en charge de vos garanties, pour vos demandes de remboursement, vous pourrez contacter l'assurance par mail ou téléphone.
Le logement en famille d'accueil (ou chez l'habitant) est disponible uniquement lorsque vous suivez des cours (et uniquement pendant la durée de ces cours) en Nouvelle-Zélande et au Canada. Sans cours, c'est à vous de trouver le logement sur place hormis les quatre premiers jours réservés en auberge de jeunesse si vous avez choisi de partir avec notre job assistance. En Australie, en revanche, il nous est possible de réserver pour vous un logement en famille d'accueil ou en colocation même si vous ne suivez pas de cours de langue.
Oui ! Afin de présenter une demande de visa vacances travail, il faut pouvoir être âgé entre 18 et 30 ans, c’est-à-dire que vous devez déjà avoir fêté vos 18 ans et que vous ne pouvez pas avoir 31 ans. Concrètement, vous avez donc jusqu’à la veille de votre 31ème anniversaire pour faire une demande. Attention au décalage horaire ! Hé oui, vous célèbrerez votre anniversaire plus tôt sur les fuseaux horaires océaniens dans le cas de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande.
Les modalités et les procédures d’obtention du visa vacances travail varient d’un pays à l’autre. Nous pouvons nous charger de la demande de votre VVT uniquement pour les séjours à destination de l’Australie.
Pour le Canada et la Nouvelle-Zélande, c’est une démarche que vous devez entreprendre personnellement. Mais, pas de panique ! Non seulement, nous vous renseignerons avec plaisir sur le déroulement de votre demande de visa, mais nous avons également élaboré des tutoriels pour vous guider dans cette étape.
Le visa vacances travail vous permet de travailler dans de nombreux secteurs différents. Si aucune restriction en termes de domaine professionnel n’est imposée en soi dans le cadre de cet accord, il convient tout de même de souligner qu’il est peu probable de trouver du travail dans les secteurs médicaux et paramédicaux.
Ne perdez pas de vue qu’il faudra rester réaliste dans votre recherche d’emploi et ainsi tenir compte de votre niveau d’anglais et d’expérience dans ledit secteur lorsque vous postulerez à une offre.
Nous vous conseillons également de rester ouvert d’esprit dans votre recherche d’emploi et de ne pas vous focaliser sur un secteur en particulier.
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Récupération des impôts en Australie : ce qu'il faut savoir
Depuis le 1er janvier 2017, les règles en matière d'imposition pour les détenteurs d'un Visa Vacances Travail en Australie ont changé. Il est donc important de connaître les nouveaux taux d'imposition à la fois en fonction du nombre d'heures travaillées, du statut de votre employeur et de la somme gagnée. Car de ces 3 conditions découle le montant des impôts que vous devrez régulariser. Et donc, ce qu'il vous sera possible ou non de récupérer.
Tout employeur australien a le droit d'embaucher un VVTiste jusqu'à six mois ou pour une plus courte durée. Mais depuis le 1er janvier 2017, les règles en matière d'imposition ont changé. Voici ce qu'il faut retenir.
Pour ceux qui ont travaillé au cours de la période du 1er juillet au 31 décembre 2016, il existe deux catégories : les résidents et non résidents à savoir, celles et ceux qui ont séjourné en Australie moins de 6 mois. Pour chacun, la montant des impôts était automatiquement prélevé du salaire. Voici ce qu'il en était :
Résidents
De 0 à 18 200 $ : 0 %
De 18 201 $ à 37 000 $ : 19 %
De 37 001 $ à 80 000 $ : 32,5 %
De 80 001 $ à 180 000 $ : 37 %
Dès 180 001 $ : 45 %
Non-résidents
De 0 à 80 000$ : 32,5 %
De 80 001 $ à 180 000 $ : 37 %
Dès 180 001 $ : 45 %
Imposition actuelle en Australie
Vous pouviez donc bénéficier d'un remboursement d'impôts (tax return) si vous aviez payé trop de taxes sur vos salaires pendant l'année. Désormais, tous les VVTistes sont taxés à 15 % dès le premier dollar gagné jusqu'à 37 000 dollars, quel que soit le statut de résidence. Autrement dit, plus d'exemption d’impôts sur les revenus inférieurs à 18 200 $ par année fiscale (1/7 au 30/06). D'autre part, si vous n'êtes pas "résident" (moins de 6 mois en Australie ou entrecoupé d'un séjour dans un autre pays), vous devrez alors payer 32,5% sur chaque dollar gagné jusqu'à 87 000 $. Si vous avez travaillé avant et après le 1er janvier 2017, ces périodes seront donc imposées différemment.
ATTENTION : pour profiter de la taxation à 15 % sur vos revenus, les employeurs doivent être enregistrés auprès de l'Australian Taxation Office (ATO) comme employeur qui embauche des étranger sous le statut "working holiday makers". Si ce n'est pas le cas, vous serez alors taxé à 32,5 % (au minimum selon vos gains) dans tous les cas. Il se peut que l'employeur ne soit pas au courant de cette démarche (qu'il lui appartient de faire), n'hésitez donc pas à l'en avertir pour éviter les mauvaises surprises au retour.
Lorsque vous avez terminé votre travail, vous recevrez un résumé du paiement montrant combien vous avez gagné et quelle taxe a été retenue sur votre salaire. Vous utilisez les informations dans le résumé du paiement pour compléter votre déclaration de revenus et vérifier que tout est en ordre.
Si vous avez travaillé pour le même employeur avant et après le 1er janvier 2017, votre employeur vous donnera deux billets de paie. Le revenu gagné avant le 1er janvier 2017 est imposé aux taux ordinaires. Le revenu gagné à partir du 1er janvier 2017 sera soumis à la nouvelle imposition. Le taux d'imposition des VVTistes est donc différent du taux d'imposition des résidents australiens et étranger jusqu'à 37 000 $.
Exemple
Le 10 janvier 2017, Louis commence à travailler dans la ferme de mangue de Bob au Far North Queensland. Louis donne à Bob une déclaration TFN et lui dit qu'il est en VVT. Comme Bob est un employeur enregistré, les premiers 37 000 $ de revenus de Louis sont imposés à 15%. Louis est payé chaque semaine et gagne 100 $ par jour. Après 5 jours de travail, Louis reçoit son premier versement de 500 $, dont une taxe de 75 $ est retenue. Louis arrête de travailler pour Bob en avril après avoir gagné un total de 6 000 $. Bob donne à Louis un billet de paie montrant qu'il a gagné un total de 6 000 $ et que l'impôt s'élève à 900 $. Le 1er juillet 2017, Louis dépose une déclaration de revenus indiquant qu'il est non-résident. Il montre son revenu de 6 000 $, l'impôt retenu de 900 $ et les déductions de 500 $ liées à son emploi (frais éventuels). Une fois son dossier traité, Louis reçoit un avis d'évaluation indiquant un revenu imposable de 5 500 $ et une taxe sur un revenu imposable de 825 $. Comme Louis a payé 900 $ en taxe, il reçoit un remboursement de 75 $ directement sur son compte bancaire australien.
Nous vous recommandons de faire votre déclaration vous-même sur le site de l’Australian Taxation Office (ATO) au moment de quitter l'Australie et au plus tard le 31 octobre pour l'année fiscale se terminant le 30 juin. Gardez bien toutes vos fiches de paie si vous souhaitez effectuer votre déclaration par vous-même par la suite.
Si vous n'êtes pas sûr que vos employeurs bénéficiaient du statut d'employeur de "Working Holiday Maker", vous pourriez vous retrouver à devoir payer des taxes plutôt qu'en récupérer.
Quid de la Superannuation ?
Une fois que vous quittez l'Australie, vous êtes également susceptible de pouvoir récupérer une certaine somme pour avoir cotisé pour la retraite. Chaque australien cotise pour une sorte de plan d'épargne à long terme conçu pour les aider lors de leur départ à la retraite. Comme vous n'en bénéficierez pas, vous êtes en droit de pouvoir réclamer le remboursement de votre superannuation, parfois appelés super funds.
Concrètement, pour chaque employé qui gagne plus de 450 $ par mois, l'employeur a pour obligation légale de payer l'équivalent de 9.5% du salaire sur un fond de superannuation. Cette somme n'est pas prélevée directement de votre salaire, il s'agit d'une charge supplémentaire payé par l'employeur. Vous pourrez faire la demande de remboursement à hauteur de 35 % de vos cotisations retraite auprès de la Superannuation Company.
Vous ne pouvez soumettre votre demande qu'après avoir quitté l'Australie, quand votre visa aura expiré. Cependant, il est recommandé de démarrer votre application DASP en ligne lorsque vous êtes encore en Australie et que vous avez les informations pertinentes en votre possession. Plus d'infos ici.
Retrouvez d'autres informations sur l'Australie
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PVT Nouvelle-Zélande : organiser son voyage
Envie de partir à la découverte de la Nouvelle-Zélande ? Un pays tout en contraste par sa culture mariant traditions anglo-saxonnes et maories, tout comme par ses paysages alternant plages spectaculaires et montagnes enneigées. Composée de deux îles principales, l’île du Nord, surnommée l’île fumante en raison de ses nombreux volcans, et l’île du Sud, plus grande, appelée île de Jade avec ses montagnes et ses forêts verdoyantes, Aotearoa (alias le pays du long nuage blanc) offre une panoplie d’activités et de paysages à découvrir.
Mais un séjour en VVT à l'autre bout du monde se prépare un minimum. Vous trouverez dans les trois rubriques ci-dessous des infos pratiques sur le coût de la vie, les moyens de transport ou encore les logements, soit trois des principales préoccupations des VVTistes une fois sur place.
Transport
Se loger
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PVT Nouvelle-Zélande : les transports sur place
Pour se déplacer en Nouvelle-Zélande un grand nombre de possibilités s’offre à vous. Votre choix se fera en fonction du type de trajets que vous voulez effectuer : courts et quotidiens ou bien plus longs, mais moins fréquents. Horizon des possibilités lors de votre PVT.
Les transports publics en Nouvelle-Zélande
Dans la plupart des grandes villes, les bus sont gérés par des sociétés privées d’où l’absence d’une tarification et de tickets communs à tout le pays. Tout dépendra de la compagnie que vous décidez d’emprunter et de son mode de fonctionnement. Les grandes villes possèdent un réseau assez développé de bus, de trams, de trains et de ferries. Les distances sont divisées en zones de 4 kms chacune et le montant de votre ticket variera en fonction du nombre de zones parcourues. Les bus circulent principalement en journée. Des bus de nuit desservent certaines grandes villes, généralement le vendredi et le samedi soir uniquement. Attention donc à bien consulter les horaires !
Pour ce qui est d’Auckland, le système de la AT Hop Card couvre les réseaux de Metrolink, LINK, North Star, GOWEST et Waka Pacific. Vous la rechargez du montant souhaité. Elle vous coûtera beaucoup moins cher qu’un ticket à chaque trajet. Si vous restez à Auckland plus longtemps, optez pour un monthly pass, il vous coûtera autour de $210 et vous pourrez voyager de manière illimitée en en bus et en ferries.
Quant à Wellington, la ville dispose d’un réseau de bus et de trains ponctuel et abordable. Ils sont organisés par la compagnie Metlink, les tarifs dépendent du nombre de zones (allant de 1 à 14) : le prix d’une zone est de $2 ; 14 zones $17.
Enfin, Orbus dessert entièrement la ville de Queenstown, allant même jusqu’à Arrowtown. Comme pour le reste du pays, les tarifs commencent à $3,50 pour un ticket, mais vous pouvez aussi prendre un pass illimité à la semaine pour environ $43.
Trajets longues distances
L'avion
Etant donné l’étendue de la Nouvelle-Zélande, l’avion est la solution la plus rapide, mais s’avère assez chère même pour les distances courtes. La compagnie nationale, Air New Zealand, dessert une vingtaine de destinations principales tandis que des compagnies concurrentes plus petites assurent des trajets jusqu’à des sites reculés tels que Stewart Island ou l’archipel Chatham. N’hésitez pas à vous renseigner sur les compagnies low cost comme Jetstar ou Pacific Blue qui s’occupent des liaisons internes et proposent des prix souvent plus abordables.
Le train
Si vous êtes en quête d’un voyage original, c’est la solution qu’il vous faut ! Exception faite du train de banlieue de Wellington, le réseau ferroviaire néo-zélandais est peu étendu. Vous aurez tout de même la possibilité de voyager avec certaines compagnies comme la Kiwi Scenic Rail et ses trois routes mythiques, fortement recommandé pour le simple plaisir des yeux :
- Northern Explorer : la ligne relie Wellington et Auckland et vous emmènera dans le cœur volcanique de l’île du Nord. Le train a la particularité de posséder de larges vitres offrant une vue panoramique sur un paysage spectaculaire.
- Coastal Pacific : La compagnie relie Picton et Christchurch, route tout au long de laquelle vous pourrez admirer les Kaikoura Ranges (chaine de montagnes) et l’océan Pacifique.
- Tranzalpine : traversant également l’île Sud, cette route relie Christchurch à Greymouth et offre des vues à couper le souffle comme un viaduc de 73 mètres de haut, les parcs nationaux et le tunnel d’Otira. Une expérience que vous ne regretterez pas !
Notez que vous pouvez acheter des pass et profiter de tarifs spéciaux (surtout en hiver) pour ces différents itinéraires.
Le bus
En Nouvelle Zélande, le bus vous conduira dans les recoins les plus éloignés des deux îles. Les voyages sont généralement simples et bien organisés, mais peuvent s’avérer longs et parfois chers. Les compagnies les plus connues sont : Intercity, NakedBus et Atomic travel (mais il en existe bien d’autres). Les compagnies conseillent de réserver à l’avance (surtout en été, c'est-à-dire de décembre à février), car vous pourriez bénéficier de réductions considérables (billets à $1). Celles-ci vendent des forfaits plus avantageux que si vous achetiez des billets à chaque trajet. Par exemple, Intercity possède une offre assez complète de trajets sur tout le pays ou sur une des deux îles. Vous retrouverez notamment le Travel Pass qui propose un système de Hop on Hop off avec 14 itinéraires différents allant de 119 à 995$ ou encore le Flexipass. Cette fois, pas d’itinéraires, mais vous payerez en fonction des heures de trajet allant de 15 à 60 heures et les prix variant de 119 à 449 $. Une véritable diversité de formules s’offre à vous. Vous pourrez aussi profiter des arrêts touristiques afin de voir les beautés du pays. Autant vous dire que vous aurez l'embarras du choix en la matière. Choisissez la formule qui vous convient le mieux et essayez de flairer les bonnes affaires.
La voiture ou le van en Nouvelle-Zélande
La voiture est synonyme de liberté en Nouvelle-Zélande ! Si vous optez pour cette solution, pour le moins plébiscité par les VVTistes, vous direz adieu aux attentes interminables dans les gares, aéroports... et bonjour à l’expérience de road trip, la vraie ! Vous vous arrêtez où et quand vous le souhaitez, vous choisissez votre itinéraire et vous profitez.
Quelques informations pratiques concernant les routes néo zélandaises : comme dans tous les pays anglo-saxons, les Néo-Zélandais roulent du côté gauche, la vitesse maximum est de 100 km/h sur les autoroutes et 50 km/h en ville. De manière générale, vous roulerez lentement car la Nouvelle-Zélande possède peu d’autoroutes (surtout en zone rurale) et les routes sont souvent sinueuses, étroites ou encore escarpées. La météo va elle aussi fortement influencer votre conduite, que ce soit en hiver ou en été, le temps change d’une minute à l’autre. Vous devez être en possession de votre permis national et d’un permis international, le tout ne sera valable qu’un an en Nouvelle-Zélande. Si vous comptez rester dans le pays au-delà du délai grâce à l'extension possible de 3 mois du Visa Vacances Travail à certaines conditions, vous devrez alors passer le code de la route néo-zélandais.
Location
Préférez la location si vous êtes âgé au minimum de 21 ans et si vous n'avez besoin d'une voiture que pour une courte période. Au-delà de plusieurs semaines, en moyenne six, acheter un véhicule s'avérera peut-être plus rentable. Parmi les avantages de la location, les pannes sont gérées par la compagnie de location et les assurances. En revanche, le coût, la restriction dans le temps ou encore le fait de devoir déposer la voiture ou le van à un endroit précis à l'issue de votre location peuvent constituer des inconvénients.
Achat
Si vous décidez d’acheter, vous devrez vérifier l'état du véhicule vous-même. Quelques pièges existent, n'hésitez pas à consulter notre article sur ce thème. Si vous êtes passionné de mécanique, alors aucun problème ! Si vous n’y connaissez pas grand chose, voire rien du tout, vous risquez en revanche de créer plus de tracas et des frais. Une des solutions consiste alors à acheter son véhicule directement dans un garage plutôt qu'à un particulier. Option plus chère certes, mais moins risquée (le risque 0 n'existe pas !) Selon la saison, les prix peuvent augmenter considérablement, la demande étant très forte. La possibilité de revendre votre véhicule à la fin de votre voyage reste un des avantages considérables de cette option. Certains parviennent à le vendre au prix d’achat, vous ferez alors au final de grosses économies. Petit conseil, vous rencontrerez peu de backpackers en juin, juillet et août et évitez donc cette période pour la revente.
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Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
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PVT Nouvelle-Zélande : comment se loger et à quel prix ?
Il existe un vaste éventail de logements en Nouvelle-Zélande notamment dans les villes voire même dans certains coins plus reculés. Il vous suffira de choisir en fonction de vos besoins, de vos envies, de vos moyens et de la durée du séjour prévue lors de votre PVT.
Les auberges de jeunesse en Nouvelle-Zélande
Moyen économique et pratique pour commencer votre voyage, il s’agit également du meilleur type de logement pour rencontrer des voyageurs du monde entier. Un lit dans un dortoir vous coûtera entre $30 et $50 par nuit. Les auberges de jeunesse proposent un tas de services gratuits ou payants comme le wifi, l’accès à une laverie, etc. Si vous êtes affilié à un réseau d’auberges de jeunesse comme YHA, vous bénéficiez de réductions sur les chambres de leur réseau, mais aussi sur certaines activités et certains services de l’auberge (par exemple YHA offre le wifi dans toutes ses auberges affiliées). N’hésitez pas à choisir des auberges de jeunesse indépendantes et qui présentent d’autres avantages, notamment un prix souvent meilleur marché.
La location ou colocation
Choix idéal pour s’établir dans une ville, la colocation permet de rencontrer d'autres jeunes et de vivre en s’imprégnant de la culture néo-zélandaise. Les prix des locations, plus élevés dans les grandes villes et dans leur centre, baisseront en s’éloignant et en optant pour la colocation. Les loyers à Auckland, par exemple, ville un peu plus chère que les autres dû à sa taille, oscilleront entre $170 et $295 par semaine dans le centre pour une colocation en chambre simple. Hors du centre, comptez plutôt $165 à $200 hebdomadairement. Dans le centre de Wellington, pratiquement aussi cher qu’Auckland, vous trouverez des logements partagés autour de $230 par semaine, comptez $160 si vous êtes plutôt en banlieue. Pour ce qui est de Queenstown, plus petite ville, une colocation vous coûtera environ $180 la semaine et vous pouvez même trouver des appartements une chambre pour $270. Attention toutefois à la saison haute qui correspond à la saison de ski et l'été, pendant lesquelles les prix sont susceptibles de grimper. Lorsque vous cherchez une location ou colocation posez un maximum de questions au propriétaire. Par exemple, sachez que beaucoup de logements en location ne sont pas meublés, veillez à ce que le nécessaire de base (frigo, machine à laver, lit, etc.) soit fourni.
Vérifiez aussi l’emplacement du logement si le quartier est bien desservi afin de vous éviter les tracas liés au déplacement. Prenez le temps de visiter pour ne pas avoir de mauvaises surprises. Bon à savoir, votre propriétaire n’est pas autorisé à vous demander le loyer plus de deux semaines à l’avance et a la possibilité de changer son loyer tous les 180 jours. Le propriétaire peut demander jusqu’à quatre semaines de loyer en guise de caution, elle sera reversée au locataire à la fin du bail. Faites en sorte de toujours avoir des preuves quel que soit le paiement que vous effectuez et surtout ne payez rien sans avoir vu le logement et passez en revue les différents points du contrat de location avec le propriétaire. Retrouvez plus d’informations sur vos droits et devoirs en tant que locataire sur le site du ministère néo-zélandais.
Le Camping en Nouvelle-Zélande
Impossible (ou presque) de partir en Nouvelle-Zélande sans faire du camping. Alors autant s'y préparer ! Partez toutefois du principe que le camping sauvage est interdit afin d’éviter les ennuis (une pratique devenue d'ailleurs de plus en plus contrôlée). Vous aurez le choix entre des campings privés (Holiday Parks) ou les campings des DOC (Department of Conservation). Pour les campings privés, comptez entre $7 et $20 pour planter votre tente, à cela peuvent s’ajouter d’autres coûts comme l’eau chaude, l’électricité, etc. Ce genre de camping offre aussi la possibilité de louer un bungalow ou encore un lit dans un dortoir. Il y a des options pour tous les goûts.
En ce qui concerne les terrains des DOC, vous trouverez des emplacements rudimentaires avec rarement plus que l’accès à l’eau froide. Comptez entre 6 et 12 NZ$ pour un emplacement, beaucoup demandent de mettre de l’argent dans une boîte et il arrive même que certains soient gratuits. Ces emplacements se situent dans des sites plus sauvages, comme des plages, des forêts, ou des parcs nationaux, vous offrant ainsi une expérience complètement différente au milieu de la nature. Attention cependant à bien respecter l’environnement, jeter des détritus n’importe où peut donner lieu à des amendes très salées.
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PVT Nouvelle-Zélande : le coût de la vie
En Nouvelle-Zélande, le coût de la vie est légèrement moins élevé qu'en Europe ou en Australie. Un véritable argument supplémentaire en faveur de cette destination en PVT si vous avez un budget limité ou si vous hésitez encore l'un ou l'autre pays.
Sur cette île du bout du monde, le coût de la vie reprenant la plupart des produits de consommation courante est globalement légèrement inférieur à l'Europe. Une chose est sûre, les prix ne sont pas aussi élevés qu'en Australie, ce qui en fait une alternative pour les plus petits budgets même si depuis la victoire à la Coupe du monde de Rugby en 2011, l'inflation s'est fait ressentir. Avec Auckland dans le top 10 des villes les plus accueillantes au monde, la qualité de vie en Nouvelle-Zélande est réputée dans le monde entier. Dans l'ensemble du pays, le salaire minimum a été augmenté en avril 2016 et est désormais de $15,25 de l’heure. Pour une journée de 8 heures vous serez payé en moyenne $122. Le gouvernement a annoncé qu’il augmenterait encore le salaire minimum de 50 cents/heure d’ici avril 2017 ! 1 dollar NZ = +/- € 0.65.
Pour la nourriture, adaptez-vous à l’offre locale car les produits européens/importés sont chers ! N’hésitez pas à aller vous fournir dans les fermes, les fruits et légumes y seront moins onéreux ainsi que dans les supermarchés Pak’n Save ou le New World. Niveau shopping, si les prix étaient autrefois avantageux, ceux-ci ont eu tendance à grimper ces dernières années et varient également selon les cours des monnaies.
En ce qui concerne le logement, sachez que les prix des locations sont plus élevés dans les grandes villes et dans leur centre, en particulier à Auckland. Éloignez-vous en et optez pour une colocation afin de diminuer le prix. Queenstown, ville de taille moyenne, sera certainement moins chère que Wellington ou Auckland, même si lors des périodes estivales l'afflux de touristes change quelque peu la donne. Bien entendu, le coût de la vie en Nouvelle-Zélande variera en fonction de votre train de vie, de votre salaire, de vos envies et de vos choix notamment en matière de transport.
Pour être réaliste, comptez un budget quotidien minimum de 100 NZ$ (60 €) par jour et par personne. A noter toutefois que votre mode de vie et vos choix en matière de logement (colocation, auberge de jeunesse, achat d'un van, transport en bus, etc.) détermineront votre budget. En Nouvelle-Zélande, un certain nombre de choses se paient à la semaine comme les salaires et les loyers. 1 NZ$ revient à environ € 0,60.
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PVT Canada : tout savoir sur la vie sur place pour s'organiser
Sur place, les provinces jouissent d’une autonomie assez large, donc pratiquement plusieurs aspects varient d’une ville à l'autre. Vous trouverez dans les trois rubriques suivantes des informations pratiques pour se préparer à vivre au canada : coût de la vie, les moyens de transport, comment se loger. Soit trois des principales préoccupations des VVTistes une fois dans le Pays du Grand Nord Blanc.
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Les villes comprenant une astérisque * sont éligibles pour la Job Assistance
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PVT Canada : comment se loger et à quel prix ?
Le logement est de manière générale assez onéreux, bien entendu, cela variera en fonction de vos choix et de votre mode de vie. Voici un aperçu des différentes options s’offrant à vous.
Les auberges de jeunesse au Canada
Il existe un vaste éventail de logements au Canada en PVT. VisaVacancesTravail.be propose de commencer votre voyage par 4 jours en auberge de jeunesse. Au Canada, elles sont généralement réputées comme chaleureuses et bien équipées. Vous trouverez des auberges indépendantes ou officielles (membre de Hostelling International). Si vous n’êtes pas en possession d’une carte Hostelling International, sachez que vous êtes susceptibles de payer 10% de plus. Gardez également en tête que les auberges de jeunesse HI ne sont pas mixtes et l’alcool et le tabac y sont interdits. Comptez en moyenne entre $30 et $50 pour un dortoir allant d'une jusqu’à dix personnes. En général, les auberges de jeunesse mettront à votre disposition draps, serviettes, douche commune, cuisine, wifi et très souvent une laverie à pièce. Il est aussi possible de réserver des chambres privatisées, mais le prix sera plus élevé (à partir de $60).
Location et colocation au Canada
Si ce que vous recherchez avant tout c’est la stabilité d’un appartement et vous établir pour quelque temps dans une ville précise, n’hésitez pas à louer ou intégrer une colocation. Votre mot d'ordre : la rapidité ! Répondez vite aux annonces que ce soit dans les journaux quotidiens, internet, dans les magasins etc. Evitez les agences immobilières, celles-ci demande une commission qui vaut en général un mois de loyer. Pour le choix de votre quartier, pensez à plusieurs facteurs : le prix (plus vous vous éloignerez du centre plus vous trouverez des logements bon marché), les transports, mais pensez également à l’hiver, pour ne pas vous retrouver bloqués chez vous sans moyen de vous déplacer.
Notez que le propriétaire n’a pas le droit de vous demander ni caution ni loyer d’avance. La seule chose qu’il peut et qu’il fera, c’est vérifier votre solvabilité. En général, un bail dure un an, mais n’hésitez pas à discuter la clause de départ anticipé.
La colocation est la solution la plus optimale pour réduire le montant de votre loyer et pour vous aider à vous adapter à un nouvel environnement. Beaucoup d’appartements ont un bail d’un an, mais il est tout à fait possible de trouver des locations au mois. Le prix du loyer va dépendre de la ville où vous vivez. Comptez en moyenne entre 700 et $1500 pour Vancouver et Toronto (appartement avec deux chambres).
Faire du Camping au Canada
Le Canada est LE pays du camping par excellence, ils sont extrêmement bien organisés et le cadre naturel vaut le coup. La saison officielle se déroule de mai à septembre, mais tout dépend du site. Il existe trois sortes de terrains de camping :
Les terrains privés
Ils sont souvent plus chers (entre $35-$40 l’emplacement), mais très bien équipés. Le cadre n’est généralement pas très idyllique, vous trouverez beaucoup de camping-car qui sont bien plus grands que les européens (soit des sites sauvages, soit des sites ressemblant plus à un parking).
Les terrains provinciaux, Les terrains fédéraux
Il s’agit des campings des parcs nationaux. Le cadre y est tout de suite plus agréable car souvent situés en pleine nature ou au cœur d’une forêt. Les prix oscillent entre 16 et 35$ en fonction des équipements à disposition (eau, électricité etc.). Notez qu’il vous faudra un permis pour faire du feu ($9) et le bois vous sera donné à la réception puisqu'il est tout simplement interdit d’en ramasser dans les parcs. On retrouve des campings rustiques (backcountry sites) qui disposent de toilettes sèches, feux de camp, mais pas d’eau potable. Les terrains sans services (pour les tentes), eau potable, douches avec toilettes.
Les gîtes, B&B, Chambres d’hôtes
Si vous optez pour un Bed & Breakfast, attendez-vous à vivre avec les propriétaires. Le petit plus c’est donc le contact direct avec la population locale. Néanmoins, ce genre de logements, généralement convivial et accueillant, n’est pas à la portée de tous. Aussi, ils nécessitent une réservation faite à l’avance et les conditions d’annulation peuvent être contraignantes.
Autres
Très courant à l’ouest du Canada, le logement en ranch (souvent moins chers que les ranchs américains) est un véritable plongeon dans les racines de la culture canadienne. Non seulement vous pourrez en apprendre plus sur l’activité si vous optez pour un job en ranch, mais vous pourrez également découvrir les paysages spectaculaires du Canada à cheval en optant pour les guest ranch. Enfin, comme dans d’autres pays, de nombreuses chambres d’étudiants au sein des campus universitaires se libèrent pendant l’été, n’hésitez pas à vous renseigner.
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PVT Canada : les transports sur place
Au Canada en PVT, les grandes villes sont généralement bien desservies par les transports publics. Le plus populaire d'entre eux reste le bus. Chaque ville se différencie ensuite par son propre système de métros, tramways ou ferries selon sa typologie.
Transports publics
Au Canada, les grandes villes sont généralement bien desservies par les transports publics. Le plus populaire d'entre eux reste le bus. Chaque ville se différencie ensuite par son propre système de métros, tramways ou ferries selon sa typologie. Quoi qu'il en soit, il est souvent est très facile de passer de l’un à l’autre. En général, il vous suffit d’avoir un billet ou un laissez-passer. Les laissez-passer vous ouvrent les portes à un accès illimité sur tout le réseau pour une période définie et reste plus avantageux qu’un aller simple à chaque trajet. Pour plus de renseignements, il vous suffit de vous rendre au kiosque des gares, d’appeler la ligne d’information de la compagnie de transports ou même de consulter leur site.
A Vancouver, le réseau de la ville dépend de Translink, composé de bus, métros, tramways et ferries. Un single fare (un billet) vous donne l’accès à l’ensemble du réseau pour 90 minutes. Le prix changera en fonction des zones 1 zone= $2,75, 2 zones= $4, etc.
A Toronto, le réseau dépend de la Toronto Transit Commission ou plus communément appelée la TTC. Elle dispose de bus, tramway et métros. Le mode de payement se fait par cartes d’abonnés, tickets ($3,25 l’aller simple) ou même des jetons (3 pour $8,70).
L'avion
Pour les longues distances et afin de voyager de manière sûre, rapide et efficace, l’avion est sans doute le meilleur moyen de transport. Toutes les grandes villes sont extrêmement bien connectées et possèdent leur propre aéroport avec des vols réguliers vers un tas de destinations intérieures (mais aussi extérieures). Air Canada (la compagnie nationale) propose régulièrement des offres spéciales sur son site. Ne négligez pas non plus les compagnies low cost comme Canjet ou Westjet qui proposent des prix démocratiques. Non seulement vous pouvez acheter vos billets sur internet mais aussi, au près de Flight Centers et ses nombreux comptoirs. Si vous voulez vous rendre dans une destination plus reculée, voire isolée, il vous faudra prendre un vol pour la grande ville la plus proche puis louer un véhicule ou alors prendre un bus.
Se déplacer en train
Si vous vous sentez l’âme d’un grand voyageur ou que vous désirez changer vos habitudes, le train est fait pour vous. Si, au contraire, votre but est d’aller d’un point A à un point B plutôt rapidement, vous vous rendrez assez vite compte qu'il ne s'agit pas du moyen de transport le plus approprié sur place. Le Canada ne possède en effet pas de nombreuses lignes. De quoi conférer au train le titre de "moyen de transport cher et relativement lent" (le train grande vitesse n’ayant apparemment pas traversé l’Atlantique jusque là). Néanmoins, si vous êtes amateurs de paysages spectaculaires dans une ambiance intimiste, ViaRail, compagnie ferroviaire principale au Canada, possède deux lignes mythiques qui devraient satisfaire vos envies :
- Le Canadien, reliant Toronto à Vancouver, traversant 5 états du Canada.
- The Rocky Mountaineer parcourant les rocheuses et offrant un panorama spectaculaire.
N’hésitez pas à consulter le site de ViaRail qui offre souvent des forfaits spéciaux pour les grands voyageurs. Pensez aussi au Canrail pass-réseau si vous tenez vraiment à prendre le train. Celui-ci comprend 7 à 10 allers simples pendant 60 jours partout dans le pays et en classe économique (comptez entre $700 et $900…).
Se déplacer en bus
Alternative au train desservant toutes les villes et villages canadiens à des prix abordables, le bus peut être long et fatigant, mais il vous procurera une très grande flexibilité. Vous vous arrêterez quand et où vous le souhaitez. L’Orléans express et Intercar couvrent l’Est du Canada à savoir l’état du Québec et de l’Ontario et Greyhound l’Ouest. L’avantage de Greyhound est qu’il propose parfois des destinations américaines, alors pourquoi ne pas visiter Seattle ou une autre ville proche de la frontière durant votre Visa Vacances Travail ? En plus, vous bénéficiez de réductions si vous êtes étudiants ou membre de Hostelling International (entre 25 et 50% de réduction).
La voiture
Rien de mieux pour être complètement libre et visiter les parcs nationaux sans encombre que la voiture (les bus rencontrent parfois quelques difficultés d’accès). Elle reste de loin le moyen de transport le plus flexible. Le Canada dispose d’un réseau routier très bien développé, les autoroutes du sud de la Colombie Britannique y sont considérées comme étant les plus fiables car moins affectées par les cycles de gel et de dégel (gardez toujours à l’esprit que la météo reste un facteur très à ne pas négliger pour la conduite, surtout en hiver). Autre information utile, le carburant se vend par litre et est plus cher dans les régions reculées.
Vous devrez rouler entre 30 et 50 km/h en ville et 90 km/h sur les autoroutes, parfois jusque 110 km/h, mais soyez vigilants les limitations changent selon les provinces. La priorité de droite n’existe pas et les feux se trouvent de l’autre côté du carrefour (n’oubliez pas de vous arrêter avant l’intersection). Acheter une voiture d’occasion peut être une bonne solution même s'il en existe encore d’autres moins onéreuses.
A ce propos, voir notre article sur les pièges à éviter pour acheter une voiture, un van pendant son PVT.
Location
Pour louer une voiture, vous devrez disposer d’un permis valide de votre pays d’origine (pas besoin du permis international, mais à minima en alphabet latin), ainsi que d'une carte de crédit valide (les deux documents doivent avoir le même nom). Vous devez aussi détenir votre permis depuis au moins un an et être âgé de minimum 25 ans (certaines compagnies acceptent des jeunes ayant entre 21 et 24 ans moyennant des frais supplémentaires). Sachez que les grosses agences ne sont pas toujours les plus chères, mais n’hésitez surtout pas à demander quels sont leurs tarifs avantageux. Louer un véhicule depuis l’Europe peut vous permettre d’obtenir les meilleures conditions. Comparez, faites des devis pour trouver le prix le plus avantageux. Bon à savoir : le temps de location ainsi que le nombre d’années de possession du permis de conduire peuvent faire varier considérablement le prix. La location vous semblera peut-être être la solution idéale, mais il faut toutefois faire attention aux coûts cachés. Favorisez plutôt la location de voiture pour un voyage à plusieurs plutôt que pour des trajets réguliers.
Partage de voiture
Des compagnies mettent à disposition des voitures situées à des points de location ou de dépôt. Vous devez souscrire un abonnement au mois ou à l’année, avoir un permis et verser une caution. Il est possible de réserver votre véhicule sur Internet et de le récupérer au point le plus proche (comme avec la compagnie de Vancouver Zipcar).
Ce système est avantageux si vous restez dans une seule ville, mais ne vous permettra pas d’aller très loin et vous devrez répondre à de nombreuses conditions.
Co-voiturage
Un conducteur propose un trajet et un nombre de places dans sa voiture contre une participation financière à l’essence en échange. Il existe de nombreux sites à ce sujet à l'instar de covoiturage.ca
Drive away
Moyen original par lequel vous êtes contracté par une agence pour conduire la voiture de quelqu’un à travers le pays, donc généralement pour une longue distance, mais dans un temps défini. La compagnie fait payer le service au propriétaire et vous dédommage des frais d’essence. Une façon originale de ne pas payer pour se déplacer.
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PVT Canada : le coût de la vie
Vu l’étendue du pays, le coût de la vie varie considérablement d’une ville à l’autre. Les destinations les plus chères du Canada étant dans l’ordre : Vancouver, Toronto, Montréal et Calgary. Mais pas de panique, elles restent toutes abordables en PVT.
L’un des dénominateurs communs au Canada reste le coût du logement, assez élevé quel que soit l’endroit. Opter pour une colocation et s’éloigner du centre-ville vous aidera réellement à trouver des logements avec un loyer abordable, mais attention, en général les banlieues sont moins bien desservies.
Pour ce qui est de l’alimentation, les fruits, les légumes et les produits frais sont plus chers qu’en Belgique (surtout le fromage !). Il vous faudra bien connaître les quartiers de votre ville pour dénicher les bonnes affaires. Comptez environ $200-$300 mensuel pour une personne.
Seuls les transports s’avèrent moins chers, tout comme le prix de l’essence si vous décidez d’acheter ou de louer un véhicule (parfois jusqu’à 50% moins cher qu’en Belgique). Comptez entre $40 et $80 pour une carte d’abonnement mensuelle et entre $1,95 et $2,85 pour un ticket.
Niveau shopping, au Canada les vêtements sont aussi chers, voire plus, qu’en Belgique... mis à part les vêtements adaptés au grand froid dont les prix sont, à l’inverse, meilleur marché.
En matière de restauration, soyez vigilants, les prix affichés ne correspondent pas toujours à ce que vous paierez. Vous serez souvent amenés à payer un supplément correspondant à des taxes de service, très fréquentes sur le continent nord américain. Le pourboire faisant partie de la culture canadienne (et nord américaine), il est obligatoire et par conséquent, le salaire des serveurs est relativement bas. Pensez donc toujours à rajouter 15 à 20% du total hors taxe dans les restaurants et dans les bars.
Enfin, votre salaire dépendra de la région dans laquelle vous travaillerez. A Vancouver comme à Whistler, toutes deux en Colombie-Britannique, le salaire minimum est de 10,45 $ et de 9,20 $ pour les employés d’un établissement servant de l’alcool. Dans l’Ontario, où se trouve Toronto, il est de 11,25 $ pour les travailleurs non spécialisés et de 9,80 $ pour les serveurs d’alcool.
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PVT Australie : le coût de la vie sur place
Aussi bien en matière de logement, de transport que de sorties, l’Australie est un pays où le coût de la vie est relativement cher, en particulier à Sydney et Melbourne. Mais, rassurez-vous si vous y allez en PVT, les rémunérations y sont proportionnelles.
Coût de la vie : un budget quotidien minimum de 50 AU$
En matière de logement, il est possible de vivre avec peu de moyens en dehors des villes en Australie ou d’entrer dans une colocation pour laquelle il faudra compter en moyenne € 500 / (min. $ 600) par mois. Attention donc lors de votre arrivée à ne pas plomber d’entrée votre budget. La nourriture et l’essence restent abordables à l’inverse de l’alcool et du tabac, fortement taxés par le gouvernement.
Il est recommandé de disposer de 1000 à 1500 € de réserve, le temps de trouver votre premier job et de percevoir votre premier salaire (la plupart des salaires sont payés à la quinzaine, voire à la semaine). Pour rester réaliste, comptez donc un budget quotidien minimum de 50 AU$ (35 €) par jour et par personne. A noter toutefois que votre mode de vie et vos choix en matière de logement (colocation, auberge de jeunesse, achat d’un van, transport en bus, etc.) détermineront votre budget. En Australie, le salaire minimum légal brut pour un adulte s’élevait à AUD$ 17.29 de l’heure au 1er juillet 2015 (1 AUD$ = € 0,71 environ). Votre visa vacances travail Australie vous permettra de travailler autant d’heures que vous voudrez.
Retrouvez d'autres informations sur l'Australie
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